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Juraj Slafkovský parmi les cinq joueurs les plus lourds de la LNH

Depuis que Juraj Slafkovský a été choisi au premier rang du dernier repêchage, tous les yeux sont rivés sur lui. On a entendu tellement de choses positives à son sujet que les partisans n’en peuvent plus d’attendre de le voir aller sur la glace, ce qui arrivera ce soir en vertu du premier match du tournoi des recrues.

Notons que le Slovaque sera utilisé sur le premier trio en compagnie de son ami Filip Mesar, alors que Riley Kidney sera employé au centre.

Mais, ce qui a retenu l’attention au cours de la journée, c’est la nouvelle disant que le jeune a pris du poids depuis sa sélection par le Canadien. On affirme qu’il a gagné dix livres de muscles et qu’il pèse maintenant 238 livres.

Je ne sais pas pour vous, mais… 238 livres, à 18 ans, je trouve ça incroyable. J’ai pratiquement de la misère à le croire. Notons d’ailleurs qu’Arber Xhekaj pèse le même poids que Slafkovsky.

C’est la réalité des choses et il va falloir que j’en revienne un jour. Mais, quand je regarde la liste des joueurs les plus lourds de la ligue et que je vois le nom du kid être dans le top-5, j’ai juste le goût de devenir encore plus fou.

En effet, seuls Jamie Oleksiak, Zdeno Chara, Robin Lehner et Victor Hedman sont plus lourds que lui dans tout le circuit Bettman.

Et Chara n’est même pas assuré de jouer cette année! À la grandeur du défenseur, il est un peu normal qu’il soit pesant, d’ailleurs.

 

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Pensez-y, l’instant d’un moment. Il a 18 ans, calvaire! De quoi aura-t-il l’air dans cinq ans, lorsqu’il sera âgé de 23 ans? 

On s’entend sur le fait qu’il va arrêter de grossir physiquement un jour… Tant qu’il est capable d’avancer sur la patinoire et que son poids ne lui cause pas de problème, je n’ai rien contre ça.

Mais, rappelez-vous : Jesperi Kotkaniemi avait lui aussi décidé de prendre de la masse musculaire à ses débuts dans la LNH et la stratégie n’avait pas porté fruit au final. Est-ce que ce sera différent avec Slaf? On peut se poser la question. La différence entre les deux cas, c’est qu’on sait que le jeune homme est une machine de guerre à l’entraînement.

Ô que j’ai hâte de le voir à l’œuvre, celui-là. Et, bonne nouvelle : on n’a qu’à patienter quelques heures avant de le voir effectuer ses premiers coups de patin dans l’uniforme du Canadien.

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