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Dominique Ducharme était un grand fan d’Alexander Romanov

Lors des séries 2021, on se souviendra que Dominique Ducharme avait pris la décision de ne pas faire jouer Alexander Romanov souvent en séries. Au début, ça chialait pas mal, mais plus le temps passait, plus les critiques s’estompaient.

Pourquoi? Parce que le CH gagnait et avançait en séries, mais aussi parce que tout le monde s’était habitué à ne pas le voir jouer.

La suite des choses avait été importante puisque, contrairement à Jesperi Kotkaniemi, qui avait manqué quelques matchs seulement, Romanov avait gardé sa bonne attitude. Il était là pour le club et sous les couleurs du Canadien, en 2021-2022, il a vraiment bien progressé.

Il est finalement parti à New York (à sa grande surprise), que vous soyez d’accord ou pas, mais il a continué de progresser.

Dominique Ducharme a récemment été questionné, dans le cadre de sa première chronique à titre de collaborateur de Martin Lemay chez BPM Sports, sur sa relation avec le défenseur russe.

Et clairement, il aimait bien travailler avec Romanov.

J’étais un grand fan de Romanov. – Dominique Ducharme

Ce que l’ancien entraîneur du CH aimait bien, c’est que Romanov est le genre de gars que tu dois freiner et non pas pousser. C’est plus facile de freiner un cheval que de pousser quelqu’un qui n’est pas motivé, n’est-ce pas?

Clairement, Romanov était plus aimé par Ducharme que par les stats avancées.

Ce que l’ancien entraîneur du CH note, c’est que Romanov est arrivé dans des conditions difficiles. Quand sa conjointe et lui sont arrivés à Montréal, ils étaient dans une bulle en raison des contraintes de la LNH et de la COVID-19.

S’adapter à la LNH dans de telles conditions (surtout avec la barrière de la langue), ce n’est pas exactement simple, mais Romanov l’a fait avec une bonne attitude, mais aussi avec une excellente éthique de travail et un beau sourire.

Comme bien des jeunes joueurs qui arrivent dans la LNH, il avait des hauts et des bas, note Ducharme. Mais au fil du temps, il devient un défenseur de plus en plus craint et c’est tant mieux pour lui.

J’ai bien hâte de voir comment il saura s’adapter au marché de New York.

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