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Carey Price ne rencontrera pas les médias avant que les médecins lui donnent le feu vert

Hier après-midi, le Canadien et ses partisans ont reçu une bien bonne nouvelle concernant Carey Price. En effet, nous avons appris qu’il sera de retour dans l’entourage de l’équipe, lundi.

Par contre, il ne faut pas s’attendre qu’il joue un match bientôt. Il va devoir s’entraîner, lui, qui n’a vraisemblablement pas patiné depuis le mois de juin.

En plus de cela, il ne parlera pas aux médias avant d’avoir le feu vert des médecins. C’est ce que Stu Cowan a annoncé.

Comme l’a mentionné Renaud Lavoie par la suite, il faut laisser du temps aux joueurs qui reviennent du programme d’aide et tant qu’il ne sera pas à 100 % mentalement, il ne parlera pas aux journalistes.

On doit donner du temps à lui et sa famille et tout le monde doivent comprendre ça.

Qu’il parle aux médias ou non, qu’il joue en 2021 ou non, je suis juste content de savoir que Price se porte mieux et qu’il est prêt à recommencer à s’entraîner. Il a vécu des moments difficiles et visiblement, on ne peut que le supporter.

Pour les curieux, il sera surprenant de voir Price dévoiler les raisons qui l’ont poussé à entrer dans le programme d’aide aux joueurs. Jonathan Drouin les a dévoilées, lui, en entrevue avec Chantal Machabée, mais le gardien du Tricolore est un peu plus réservé que Drouin.

Voyez ce que Paul Wilson, vice-président aux affaires publiques et aux communications du Canadien, avait à dire sur le sujet :

Suite à une discussion avec le personnel médical de la LNH et de l’AJLNH, il a été compris que dans une telle situation, il est très important de suivre avec diligence le processus d’après-traitement, qui consiste à mettre la famille en premier et à réintégrer ensuite l’environnement de travail. Ainsi, à la lumière de ces discussions avec le personnel médical, Carey ne sera pas mis à la disposition des médias jusqu’à ce que le moment soit convenu par les médecins et nous demandons à tous de respecter sa vie privée, y compris au moment de son arrivée à Montréal. – Paul Wilson

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