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Brady Tkachuk : la cible #1 des Rangers (selon Larry Brooks)

Ça brasse à New York.

Alors qu’on attend encore de savoir à quelle équipe Jacob Trouba sera échangé (ça s’enligne vers une transaction, mais le ballottage est une option) pour la suite de sa carrière, on se demande ce que tout cela cache.

Clairement, les Rangers veulent faire du ménage. Et ce ne serait pas seulement pour brasser la cage des gars.

Selon Larry Brooks, qui travaille pour le New York Post, les Rangers aimeraient sortir le 8M$ de Trouba afin de faire de la place sur la masse salariale pour aller chercher un gros joueur.

Et toujours selon le journaliste, c’est Brady Tkachuk qui est la cible #1 des Rangers en ce moment.

On se rappellera que les Panthers ont eu la main heureuse en allant chercher Matthew Tkachuk et visiblement, les Rangers voudraient recréer la recette avec son frère. On peut les comprendre.

Est-ce que les Sénateurs, qui ont vu Tkachuk leur demander d’être nommé capitaine pour signer à long terme dans le temps, veulent aussi faire un bon ménage à ce niveau-là? Qui sait.

Tkachuk gagne un peu plus de 8.2 M$ par année jusqu’en 2028.

Notons que Brooks, dans son texte, a parlé d’Alexis Lafrenière pour faire le chemin inverse. Il est clair que les Sens doivent parler du Québécois dans un tel processus, on s’entend.

Notons, de l’autre côté, que plusieurs journalistes ont tenu à démentir le tout. Que ce soit Bruce Garrioch ou Darren Dreger, les deux hommes ont tenu à dire qu’il n’y avait pas d’histoire là entre les Sens et les Rangers.

Qui dit vrai? Est-ce que ce sont les journalistes (de plus en plus nombreux) qui nient?

Notons qu’en ce moment, les noms des Blue Jackets, des Red Wings, des Ducks, des Sharks, des Sabres et des Sénateurs ont été liés au dossier Jacob Trouba. Reste à voir qui a vraiment de l’intérêt pour lui.

Sans Trouba hors du chemin, Tkachuk ne peut pas vraiment débarquer dans la Grosse Pomme.

Prolongation

Si les Rangers utilisent vraiment le ballottage pour se sortir de la situation Trouba, on peut penser que cela fera mal à la réputation de Chris Drury, le boss des opérations hockey.

Après tout, avec Barclay Goodrow l’an passé, le message que ça enverrait est le suivant : si tu signes avec nous, tu es mieux de toujours être bon. Sinon, on va tout faire pour te couper.

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