Le but du site n’est pas de vendre la candidature de Tomas Plekanec, mais quand les sujets s’y prêtent, on se doit de bien les traiter. La dernière campagne offensive monstrueuse de Plekanec demeure celle de la saison 2015-16. Avant cette belle saison, le Canadien et lui se sont entendus pour les saison 2016-17 et 2017-18, un pacte signé un an à l’avance.
Ici, au Québec, nous étions outrés par ce contrat. Malgré la constance du numéro 14, la somme était énorme pour un joueur comme lui. Un gars qui se balance entre le poste de deuxième et de troisième centre. Sauf que… Plekanec demeure un gars fidèle et il a opté pour l’option « court terme » que lui proposait le Canadien.
Pour Nick Kypreos, Plekanec venait de commettre la pire erreur de sa vie en acceptant l’offre de Marc Bergevin et du Canadien. Cette année-là, au lieu de signer dans le bas des quatre copies d’un contrat de deux ans le 16 octobre 2015, il aurait pu décrocher le gros lot le 1er juillet 2016. Cette date-là, le 16 octobre 2015, il a signé hâtivement puisque l’année 2015-16 a été l’une de ses meilleures et ça lui aurait permis fort probablement de signer un pacte de cinq ans et 25 millions de dollars ailleurs sur le marché. Mais il était trop tard puisqu’il avait signé son contrat à l’avance… et il n’est plus l’ombre de lui-même depuis.
Pleky voulait absolument demeurer à Montréal… mais après ce contrat-ci, quel type de pacte dénichera-t-il? Il a eu la chance de sa vie, celle de tester le marché des joueurs autonomes pour décrocher ZE contrat, mais il n’a pas cru bon de le faire. S’il empoche un contrat d’une seule saison en 2018, à la fin de ce contrat présent, il regrettera peut-être de ne pas avoir testé le marché de l’autonomie.