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Le coup de patin laborieux de P.K. Subban l’a forcé à passer des nuits à patiner

Les Subban, ils polarisent tous. P.K. demeure le plus connu des quatre hommes, mais il est celui dont on jase le moins dernièrement. Je sais que les Subban sont trois frères, mais je crois que le père doit être inclus parmi ses fils lorsqu’il est question de « polariser ». Le bonhomme s’est présenté dans une forme splendide sur le plateau de Tout le monde en parle. Le Doc Mailloux, pour sa part, a retenu ce qu’il voulait retenir. Mailloux s’est servi de LA quote afin d’en faire un spectacle.

Cela dit, le paternel donne également son show lorsqu’il a la chance de parler de ses fistons. Le journaliste J-F Tremblay s’est d’ailleurs entretenu avec lui au sujet de son bouquin L’équipe Subban. Tout comme Mailloux, quelque chose s’est imprégnée dans mon encéphale. Pis non, je ne m’installe pas ici afin de le traiter comme un animal…

L’anecdote est simple et positive. Lorsque Subban apprenait les rudiments du hockey, à l’âge où nos enfants fréquentent la maternelle, son père le réveillait à 22 heures. Pourquoi? Pour patiner jusqu’à tard dans la nuit afin qu’il améliore son « patin ». Le père trouvait que le coup de patin de son fils frôlait la médiocrité. Peut-être que le qualificatif est puissant, mais le but de Karl était vraiment de peaufiner et perfectionner cette lacune.

Papa Subban referait la même chose si c’était à refaire… et il ne faut pas omettre que P.K. voulait patiner. Si son père ne l’avait pas réveillé à cette époque, il aurait été fâché. Une chance que l’école n’était qu’en après-midi. Ça lui donnait le temps de récupérer.

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