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Le clin d’oeil de Carey Price n’a pas passé

Lors du match #1, Carey Price a effectué un clin d’oeil qui a retenu l’attention. On se souviendra qu’après un gros arrêt, le cerbère du Canadien s’est retourné vers Joel Edmundson et lui a servi un clin d’oeil.

Je dois avouer que j’ai aimé ça. Le gardien du CH est en pleine confiance et il cherchait une manière le démontrer.

Quand il ne le fait pas, on lui reproche son manque d’émotions. S’il avait trop réagi, on lui aurait imputé la défaite en raison du gaz qu’il aurait donné à ses adversaires en leur manquant de respect.

Un clin d’oeil était donc la bonne solution à mes yeux.

JiC, quant à lui, n’a pas aimé le moment du geste de Carey Price, qui l’a fait à un moment où son équipe n’était pas en contrôle du match.

C’est ce qu’il a écrit dans le Journal de Montréal.

Évidemment, Carey Price n’a pas fait le sien dans des conditions aussi épiques que celui de Patrick Roy. Si on compare les deux, celui de 1993 remporte la palme haut la main.

Mais est-ce que le fait d’avoir déjà vu le GOAT des clins d’oeil doit nous empêcher d’en faire d’autres? Je ne crois pas.

À mes yeux, c’était une démonstration du fait que le #31 est derrière son équipe. Il veut gagner comme tout le monde et il l’a démontré depuis le début des séries.

Je n’ai pas vu plus loin que ça.

Si ça peut lui donner du gaz pour arrêter les puissants Knights, qui sont une belle machine de hockey, aussi bien le laisser faire.

Tant que ça le met en confiance.

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