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Et si James Neal devenait le catalyseur du Canadien?

Bougera-t-il de Vegas d’ici la date limite?

Le Canadien n’offre pas d’offensive à ses clients. Le spectacle actuel demeure très amorphe et sans saveur. Lors de ces moments bien précis, les indisers, les médias traditionnels, les blogues et les fanatiques se mettent à spéculer. Les rumeurs commencent à rouler dans la machine. Des fois, elles sont puissantes et véridiques. Mais souvent, ce ne sont que des souhaits ou des spéculations comme ça.

La nouvelle rumeur qui roule sur les réseaux au sujet du Canadien : James Neal serait le candidat idéal afin de relancer l’attaque anémique de Claude Julien. Celle-là, elle provient du cerveau de Darren Dreger, l’un des meilleurs insiders à travers la Ligue nationale de hockey. Les Golden Knights se portent bien jusqu’à présent et le plan de l’organisation est clair : participer au bal printanier.

Toutefois, si les Knights s’effondrent et se situent dans la cave à l’aube de la date butoir, George McPhee pourrait fort probablement bouger son meilleur attaquant. Et c’est là que Marc Bergevin pourrait entrer dans le portrait. Sauf que la façon dont travaille McPhee actuellement n’indique pas qu’il sera en mesure de bouger son possible pion de location.

Ai-je besoin de vous rappeler que McPhee doit régler les cas de Theodore et Shipachyov en premier lieu? Ça ne semble pas tellement évident. Dans le cas de Bergevin, il a amplement de lousse afin d’accueillir le salaire de 6 millions de dollars qu’empoche Neal. Si McPhee le bouge, pourrait-il lui offrir un contrat l’été prochain pour le ramener à Vegas?

Bref, on spécule, mais le seul qui peut régler le problème du Canadien demeure Bergevin lui-même.

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