Entraînement : aucun changement à prévoir contre les Red Wings

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Ce matin, le Canadien a sauté sur la glace à Brossard en vue de son entraînement du jour. Après, ce sera direction Detroit pour se préparer à y affronter les Red Wings demain soir.

Ben Chiarot et ses Red Wings, eux, se préparent de leur bord.

On pouvait se demander ce que le CH allait faire en vue de ses trios à l’entraînement en raison des extras à l’attaque et en raison du rappel du bon vieux Corey Schueneman à la ligne bleue.

Rappel : j’ai dressé, ce matin, le portrait des blessés chez le Canadien dans un précédent texte. Avec Mike Matheson qui est officiellement sur la liste des blessés, ça ouvre un peu plus la porte à Schueneman.

Le problème pour le petit nouveau? Hier, le Canadien a bien joué et clairement, Martin St-Louis ne veut pas changer une formule gagnante tant qu’il n’aura pas à le faire, que ce soit en raison des blessures, de la fatigue ou des performances du club.

Voilà pourquoi le CH avait, à l’entraînement, la même allure qu’hier.

Logan Mailloux est le seul blessé qui est en mesure de patiner avec les autres (et son renvoi à London est imminent, d’ailleurs). Il a donc patiné en extra avec le #64 du corps défensif du CH.

Michael Pezzetta et Jonathan Drouin étaient donc encore les extras qui alternaient avec Evgenii Dadonov et Brendan Gallagher. On ne change pas une formule gagnante, hehe.

Notons que Joel Armia, qui est encore blessé, a patiné avant les autres, lui. Il est bon de le revoir sur la patinoire, et ce, même si son retour n’est pas forcément imminent – ou espéré.

Jake Allen, lui, s’est entraîné avant les autres dans le but de ne pas le surcharger. On peut donc penser que c’est lui qui affrontera les Red Wings… et que Samuel Montembeault aura droit au match à Washington?

Montembeault et Karel St-Laurent, qui vient parfois agir comme gardien #2 pour le Canadien au besoin, étaient donc devant le filet pour ce qui est de l’entraînement du jour.

On va surveiller afin de voir si des changements auront lieu demain, mais on peut croire que non.