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Bataille et vestiaire toxique : Nashville et Anaheim font parler d’eux en mal

Alors qu’on arrive au quart de la saison dans la Ligue nationale de hockey, les esprits commencent déjà à s’échauffer pour certaines équipes en difficulté.

C’est le cas des Ducks d’Anaheim et des Predators de Nashville, qui ne vont pas très bien présentement.

Du côté de Nashville, nous avons eu droit à la première escarmouche lors d’un entraînement des «Preds» entre les attaquants Luke Evangelista et l’ancien du CH Michael McCarron.

Les coéquipiers sont rapidement intervenus pour séparer les deux hommes. Les Predators sont présentement derniers de la LNH avec 15 points seulement depuis le début de la campagne. Les attentes étaient très hautes au début de la saison et l’équipe n’y répond tout simplement pas, surtout lorsqu’on considère les ajouts de Jonathan Marchessault et de Steven Stamkos, deux vétérans.

Du côté d’Anaheim, c’est le vestiaire qui est tout croche en ce moment. Les Ducks ont une fiche respectable de 8-8-2, mais ne parviennent pas à passer à la prochaine étape de leur reconstruction. 

Ce serait l’entraîneur-chef Greg Cronin qui serait à l’origine des problèmes selon Ryan Whitney, ancien joueur de la LNH et animateur du podcast Spittin Chicklets.

 

«J’entends des rumeurs selon lesquelles Cronin est absolument détesté par les joueurs des Ducks. Je pense qu’il crée une atmosphère qui peut ressembler à l’enfer sur Terre pour ces gars-là», a-t-il dit. 

On le sait qu’il y a des personnalités assez fortes dans le vestiaire des Ducks, mais ce ne serait même pas de la faute des joueurs. Whitney a même parlé du vestiaire le plus dysfonctionnel de la LNH. Est-ce que cela va éventuellement coûter le travail à Cronin? On verra bien.

Chose certaine, lorsqu’on se compare, on se console du point de vue du CH. C’est clair que les résultats pourraient être meilleurs, mais l’harmonie est définitivement plus présente qu’ailleurs.

En rafale

– Il performe beaucoup mieux.

– Retour à la case départ à Laval.

– Les Jets sont dominants.

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