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Canadiens

Alexander Romanov remporte le trophée Jacques-Beauchamp

Alexander Romanov est l’un des seuls points positifs chez le Canadien cette saison et sa belle progression n’a pas passé inaperçue. Il a remporté, après l’écrasante victoire du Canadien de 10-2 face aux Panthers, le trophée Jacques-Beauchamp-Molson. Ce trophée est en quelque sorte remis à la « quatrième étoile » de la saison chez le Canadien, soi au joueur qui a bien performé sans toutefois en retirer d’honneurs.

Romanov avait l’air d’être très heureux d’avoir remporté cet honneur, ce qui est très plaisant à voir. Trop souvent, lorsqu’un joueur remporte un trophée de la sorte ou une Coupe Molson, on le voit à peine sourire. Or, Romanov n’a pas volé cet honneur et il a amplement le droit d’en profiter.

Tout au long de la saison, Romanov a su progresser autant offensivement que défensivement. Avec le plus récent match où il a terminé avec un différentiel de 4, il termine la saison avec un -9, ce qui est plus qu’acceptable si l’on considère tous les gardiens qui ont passé et les déboires défensifs qui sont survenus cette saison. Il a récolté un total de 13 points, mais il n’évoluait jamais en avantage numérique. Il ne serait donc pas censé de lui reprocher son apport offensif.

Bien que Romanov mérite cet honneur, il ne faut pas non plus passer sous le silence les autres candidats notables.

Samuel Montembeault a été excellent si l’on considère le travail colossal qui lui a été demandé. Il a dû affronter un barrage de tirs à plusieurs reprises et, la plupart du temps, il a su répondre présent.

Et puis, il y a évidemment Jake Evans, qui est le joueur régulier qui a terminé avec le meilleur différentiel chez le Canadien. Il a également frôlé la marque des 30 points, ce qui constitue une très belle progression dans son cas.

Prolongation

Le Canadien s’est assuré de remercier ses partisans comme il se doit non seulement durant le match, mais également ensuite. D’abord, Samuel Montembeault et Brendan Gallagher ont pris la parole pour remercier les partisans au micro.C’est le genre de petites choses qui font une énorme différence et qui malheureusement ne se produisait pas assez souvent sous Marc Bergevin.

Brendan Gallagher a même donné la parole à Cole Caufield (qui ne s’y attendait clairement pas). Le jeune homme était nerveux, mais les partisans étaient lui ont donné un accueil généreux.

Et Gallagher était fier de son coup

On a ensuite eu droit au classique moment où de chanceux partisans ont pu aller sur la patinoire pour recevoir le chandail qu’un joueur a porté pendant le match. Et, en véritable pro, Cole Caufield a pris le temps de signer tous les chandails, et non seulement celui du partisan qui avait obtenu le sien.

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