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Un ancien gardien du Canadien pourrait vraiment être le numéro un ou deux du Canada en 2018

Les Jeux olympiques ne figurent plus sur ma liste de trucs qui me charment et qui me donnent envie de me parker devant mon téléviseur à perdre des heures importantes. Sans les joueurs de la Ligue nationale dans le village Olympique, je n’ai plus aucun désir à contempler cet événement. Quoique quelque chose pourrait peut-être changer la donne… et ce quelque chose se nomme Ben Scrivens.

Oui, oui… Ben Scrivens pourrait représenter le Canada aux Jeux de Corée. C’est loin d’être une farce plate de mononc’ Serge. OK. Je n’étais pas sérieux lorsque j’ai souligné que l’ancien cerbère du Canadien allait changer la donne. Je me demande plutôt qui se réveillera en pleine nuit (décalage avec la Corée) afin d’observer le Canada mené par Scrivens et Max Talbot face à une puissance comme la Russie?

Sera-t-il le cerbère numéro un du Canada en 2018?

Ajoutons à cela la possibilité d’apercevoir des joueurs de la Ligue américaine… si le commissaire déplaisant décidait d’autoriser ces joueurs-là à y aller. Tom Kostopoulos, le capitaine du club-ferme des Penguins, pourrait peut-être arborer le « C » sur son chandail du Canada… Le « C » brodé sur un autre chandail que Sidney Crosby lors des Olympiques, ça ne fit pas dans ma tête.

Pour revenir à Scrivens, il a tout de même affronté de gros canons lors de sa première campagne dans le pays de Vladimir Putin, où il a été d’office lors de 55 joutes et où il a présenté un pourcentage d’efficacité de 0.918. Aux Olympiques, si les NHLers ne se présentent pas en Corée, il devra affronter une équipe russe composée d’Andrei Markov, Ilya Kovalchuk, Pavel Datsyuk et j’en passe. Le Canada n’aura clairement pas ce genre de fusils dans son armoire.

Vive les Olympiques sans joueur de la NHL! #Not    

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