Cette saison, la valse des entraîneurs a frappé la Ligue nationale de manière assez spectaculaire. Mike Babcock (Toronto), Bill Peters (qui a officiellement quitté ses fonctions à Calgary) et John Hynes (New Jersey) ont perdu, en l’espace de quelques semaines, leur emploi d’entraîneur-chef.
Ils ne sont toutefois pas les seuls à sentir (ou à avoir senti, dans leur cas) la soupe chaude. Plusieurs pilotes à travers la LNH ne sont pas en bonne position présentement et une perte d’emploi pourrait potentiellement avoir lieu dans les prochaines semaines.
Sportsnet s’est donc amusé à classer les coachs de celui qui est le plus confortablement assis dans son fauteuil à celui qui dort le moins bien.
In the latest @NHL Power Rankings, @lukefoxjukebox looks at the performance, contract status and general security of each of the league’s 31 head coaches.https://t.co/9Vp2NTK2cy
— Sportsnet (@Sportsnet) December 5, 2019
Sans surprise, il y a des hommes de hockey du calibre de Bruce Cassidy (Boston), de Todd Reirden (Washington) et de Craig Berube (Saint-Louis) qui se situent au sommet de la liste – donc qui n’ont rien à craindre. Cela considère évidemment la qualité de leur travail, mais aussi le classement de leur équipe.
Quoique Michel Therrien était en bonne position au classement quand il s’est fait montrer la porte. Mais ça, c’est un autre dossier.
Au bas de la liste, on y retrouve des hommes comme Jeff Blashill (Detroit), Alain Nasreddine (l’entraîneur par intérim au New Jersey) et Todd McLellan (Los Angeles) sont ceux qui, selon Sportsnet, ont le plus de chances de se faire mettre à la porte.
Et Claude Julien, dans tout ça? Il a été classé au 20e rang, ce qui veut dire que l’auteur (Luke Fox) considère que plus d’une dizaine de coachs auraient des chances de quitter avant lui. Il considère qu’une transaction aura lieu avant de voir Julien partir.
Qu’en dites-vous? Connaissant Marc Bergevin, ce n’est pas impossible.