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Sidney Crosby doit une partie de son succès à Patrice Bergeron et Brad Marchand | En rafale

L’une des forces de Sidney Crosby, c’est que même après plus d’une décennie dans les rangs professionnels, il cherche toujours à s’améliorer, à ajouter/peaufiner des facettes à son jeu. Le 87 est très perfectionniste et il n’a pas peur de modifier sa game afin d’essayer de nouveaux outils.

Je viens de parcourir un texte très intéressant à ce sujet pondu par Jonathan Bernier, du Journal de Montréal.

Si Crosby connait une saison aussi phénoménale, ce n’est pas seulement grâce à la Coupe du monde où il a eu la chance de compétitionner contre les meilleurs. Ou aux deux semaines de repos qu’il a dû prendre afin de guérir une commotion cérébrale, qui a fait peur à plus d’un.

Mais ce qui a aidé le plus, c’est qu’il a changé un tantinet son approche. Pour marquer plus de buts, il se tient plus près du filet et il fonce au filet afin de récupérer les rebonds. Une tendance qu’il appliquait un peu moins dans le passé.

Ajoutons à cela que le kid a vanté grandement ses coéquipiers du Canada, Patrice Bergeron et Brad Marchand. Crosby a mentionné que jouer avec des joueurs intelligents comme Bergeron et Marchand aidait à ajuster certains aspects. Le capitaine des Penguins avait tendance à aller chercher la rondelle pour ses coéquipiers, mais il a remarqué que ça pouvait aussi être payant les laisser récupérer la rondelle (pour pouvoir marquer plus de buts).

Si Crosby connaît du succès comme jamais cette saison, ce n’est pas le cas de Patrice Bergeron, qui n’a que 11 points en 35 matchs. Marchand connait pour sa part une excellente saison avec 30 points en 38 rencontres. Si Crosby a été motivé par Bergeron, on ne peut pas en dire autant à l’inverse. Bergeron est en voie de connaître la pire saison de sa carrière. Que se passe-t-il avec lui, l’un des meilleurs two way players du circuit?

En rafale
– Ça intéresse réellement quelqu’un?

– Lukas Vejdemo, un choix de 3e ronde du Canadien en 2015, a inscrit son 2e filet de la saison.

– Andrea Athanasiou a connu un match laborieux défensivement face aux Sénateurs, donc son entraîneur l’a cloué au banc.

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