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L’épouse de Xavier Ouellet commence elle aussi à en avoir marre du Canada

Les restrictions en lien avec la COVID-19 font énormément parler dans le monde du hockey. Premièrement, parce que c’est totalement injuste. Les joueurs qui évoluent aux États-Unis et ceux qui évoluent au Canada vivent présentement une vie extrêmement différente. Non seulement les joueurs, mais leur famille aussi. Plus tôt cette semaine, Julie Petry annonçait qu’elle ne reviendrait pas au Québec avec ses enfants pour le moment. 

Et je la comprends.

Angela Price a également commenté la situation, d’abord à l’aide de questions-réponses sur Instagram à propos du vaccin et de la COVID-19 et ensuite en disant sur son blogue qu’elle trouve cela difficile en ce moment avec l’état de son mari, le virus, etc..

Et je la comprends jusqu’à un certain point aussi. 

Voilà que maintenant, c’est au tour de la femme de Xavier Ouellet, Liz Ann, de se prononcer. Et disons qu’elle n’est pas en faveur du Canada elle non plus.

(Crédit: Instagram )

 

Le message a le mérite d’être clair…

Il est important de dire que madame Ouellet n’est pas originaire du Canada (elle est née au Michigan), tout comme Angela Price et Julie Petry,  et donc qu’elle est ici pour la simple et bonne raison qu’elle veut supporter son mari. Comble de malheur, Xavier Ouellet est présentement blessé et il n’est donc pas en mesure de jouer avec le Rocket. Je comprends donc que sa femme puisse commencer à trouver le temps long.

Depuis plusieurs semaines, on entend dire qu’il sera extrêmement difficile pour les équipes canadiennes d’attirer des agents libres lors des prochaines saisons. On a maintenant un parfait exemple du pourquoi. Il est beaucoup plus difficile pour les familles des joueurs de vivre au pays en ce moment et s’il a le choix, il est évident que n’importe quel joueur choisira de demeurer aux États-Unis avec sa famille.

Il faut également ajouter à cela le fait de jouer devant des estrades vides et toutes les restrictions lorsqu’il est question d’aller aux restaurants ou de faire des sorties et on comprend vite que les équipes canadiennes devront avoir de l’imagination pour non seulement attirer des joueurs autonomes (ce qui semble peu probable), mais également pour conserver leurs propres agents libres qui pourraient décider de poursuivre leur carrière sous d’autres cieux.

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