Si nous reculons de quelques mois, plus précisément lors du congédiement de Claude Julien (des Bruins), Mike Babcock avait précisé qu’un directeur général devait être très heureux de constater la disponibilité de celui-ci. Selon Babcock, peu d’entraîneurs-chefs au sein du circuit sont aussi bons que Julien. Babcock l’a même juré! Bref, tout ça vient de la bouche du meilleur entraîneur de la LNH, selon plusieurs.
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— Renaud Lavoie (@renlavoietva) October 16, 2017
Donc, au final, le chanceux a été Marc Bergevin. Bergevin a perdu beaucoup de plumes depuis l’embauche de Julien, mais sa mise sous contrat demeure tout un coup d’éclat. Un coup d’éclat qui tarde tout de même à « éclater ». Cependant, selon ses homologues du circuit, ils s’attendent de voir le Canadien connaître plus de succès incessamment. Julien fait vraiment l’unanimité à travers le circuit.
Barry Trotz qualifie même Julien de « frère », tellement les deux hommes sont proches. Trotz ne s’en cache pas, il admire copieusement Julien puisqu’il réalise ce que peu d’entraîneurs sont en mesure de faire. La force de Julien demeure sa « double » personnalité. Le côté givré, où il flatte ses joueurs dans le sens du poil… et le côté plus rugueux, où il hausse le ton afin de faire passer son message.
La philosophie de Julien est d’aider son prochain, même s’il se doute que celui-ci est en route afin de « prendre » son boulot. Ce fut le cas avec Bruce Cassidy. Claude Julien était conscient que Cassidy allait devenir le prochain coach des Bruins et malgré cela, il l’a aidé à progresser.
En terminant, dans cette même rubrique de Renaud Lavoie, le journaliste confirme que Victore Mete restera pour plus de neuf matchs, mais que celui-ci pourrait retourner au niveau junior durant la saison.