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Hendrix Lapierre et Jérémie Poirier ne font pas l’unanimité chez les recruteurs

Le repêchage de la LNH arrive à grand pas. Un peu partout sur le web, à la télé et à la radio, les listes d’espoirs et les mock drafts se multiplient. Certaines tendances sont remarquées, d’autres non. Les doutes sont souvent les mêmes concernant les jeunes joueurs disponibles.

Corey Pronman de The Athletic a discuté avec plusieurs recruteurs d’équipes de la LNH afin de savoir qui sont les espoirs qui divisent le plus les analyses. Il s’intéresse surtout aux causes des débats entourant ces sélections.

Par exemple, les blessures dans le cas de l’attaquant Hendrix Lapierre et les difficultés en zone défensive du défenseur Jérémie Poirier.

TVA Sports s’est également intéressé au sujet.

Dans le cas de Lapierre, ce sont les blessures qui font peur. On ne peut pas être surpris. Il n’a joué que 19 matchs avec les Saguenéens de Chicoutimi l’an dernier et n’a marqué que deux buts. Le rythme de son jeu semble avoir été affecté par les blessures.

Sauf qu’il reste un joueur de grand talent. Un recruteur a même dit qu’il avait l’air d’un choix top-10 lorsqu’il l’a vu de la Coupe Hlinka Gretzky 2019.

Pour Jérémie Poirier, c’est le jeu défensif qui fait défaut. Le défenseur des Sea Dogs de Saint John a un talent naturel en zone offensive, mais on ne peut pas en dire autant lorsqu’il est dans son territoire. Un des recruteurs rappelle que Thomas Chabot des Sénateurs (ancien des Sea Dogs) et Shea Theodore des Golden Knights n’avaient rien de joueurs élites en zone défensive à 17 ans, mais qu’ils ont su travailler cette facette de leur jeu rapidement et s’adapter au jeu de la Ligue nationale. Après tout, un défenseur qui marque 20 buts à son année de repêchage, on ne trouve pas ça partout!

Mais pour un autre des recruteurs consultés, les lacunes du jeune sont trop importantes…

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