Lorsque les Canucks et Trevor Linden ont décidé de rompre leur relation de façon «amicale», hier, tout le monde a été pris par surprise.
Pourquoi amicale entre guillemets?
Elliotte Friedman a mentionné hier qu’il y avait peut-être eu un potentiel conflit d’intérêts entre Linden et la direction des Canucks, alors que les deux clans ne voyaient pas le futur exactement de la même façon. C’est pourquoi Linden, qui avait un plan concret en tête, aurait décidé qu’il était temps de chasser d’autres buts, voyant que les Nucks n’étaient pas d’accord avec ce qu’il avançait.
Ce tweet du propriétaire de l’équipe pointe d’ailleurs dans la même direction.
9/12. A rebuild is a long, slow, gradual process. Everybody needs to be united behind the same vision and pulling in the same direction.
— Francesco Aquilini (@fr_aquilini) July 25, 2018
Dans un autre ordre d’idées, nous avons aujourd’hui appris, toujours par le biais d’Elliotte Friedman, que Dean Lombardi serait sérieusement considéré pour occuper le poste de président laissé vacant hier.
Certains partisans ne sont pas contents, mais oublient que Lombardi a construit une équipe gagnante à Los Angeles, sous son règne.
L’expérience et les bagues de la Coupe Stanley apportées par un homme de hockey sérieux, c’est considérable. Un duo Lombardi-Benning, je ne déteste pas.
Il est toutefois plus probable qu’il suivra le principe de «quick turn-around» qui est priorisé par la direction, par contre, ce qui POURRAIT ne pas être la meilleure des choses.
Tout ça reste à voir. L’embauche est loin d’être officielle.