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« C’est terrible » Tuukka Rask, au sujet de la rivalité entre le Canadien et les Bruins aujourd’hui

Je suis né dans les années 1990 et lorsque je regardais le Canadien jouer contre les Bruins en étant plus jeune, il y avait un sentiment bizarre qui m’habitait.

Et la raison est simple.

Les deux clubs se détestaient… Et les matchs entre la formation de Montréal et celle de Boston étaient TOUJOURS divertissants.

Mais depuis quelques années, on dirait que ce n’est plus la même chose.

Brendan Gallagher est le dernier joueur à Montréal qui a vraiment vécu la rivalité entre les deux clubs et même s’il essaie de déranger l’adversaire lorsque le Canadien joue contre les Bruins, il n’y a pas autant d’engagement de la part des deux clubs.

Les temps ont changé, et Tuukka Rask (qui était de passage au podcast de Chris Nilan) qualifie la rivalité Montréal vs Boston comme étant « terrible ». 

Il était sur place au match des Bruins pour le centenaire de l’équipe (contre le CH)… Et il a dit que la rencontre aurait pu être présentée contre le Kraken et que ça aurait été la même chose.

Ça donne une bonne idée parce que Rask était là quand ça brassait : 

Tuukka Rask a raison en disant que la game a changé aussi.

On ne voit pu nécessairement les gars jouer le style des années 2000, alors que c’était super physique et c’est normal : aujourd’hui, la LNH est basée sur la rapidité, la vitesse et le talent individuel des joueurs.

C’est plus intéressant aux yeux de certains parce qu’on voit vraiment les joueurs sortir leurs skills, mais en même temps, un bon match physique… C’est toujours plaisant aussi.

La rencontre entre les Canucks et le Canadien lundi au Centre Bell en est un bel exemple. On a vu de la robustesse tout au long de la rencontre (des deux côtés de la patinoire) et ça a donné un bon résultat.

Mais il ne faut pas oublier aussi le fait que les Bruins et le Canadien ne jouent pas souvent l’un contre l’autre depuis le changement du calendrier régulier dans la LNH.

Ça fait en sorte que les joueurs ont moins le temps de se détester… Et ça fait en sorte que les rivalités se font plus rares aujourd’hui dans la grande ligue.

En rafale

– C’est fou pareil.

– Des vrais piliers à la ligne bleue.

– Effectivement.

– Logique.

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