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Cayden Primeau : l’un des 3 meilleurs espoirs chez les gardiens au monde ?

Cayden Primeau est réellement impressionnant, avec les Huskies de l’Université NorthEastern. Au fait, cette prise de Trevor Timmins peut clairement être identifiée comme un vol : Primeau est un choix de 7e ronde.

Et pourtant, il joue comme un espoir de très haut niveau.

Depuis son arrivée dans les rangs universitaires, le 199e choix de l’encan 2017 a maintenu un rendement de 28-11-6, une moyenne de buts alloués de 2.17 et un taux d’efficacité de .924%.

D’ailleurs, Primeau devrait sans aucun doute être le gardien partant des États-Unis au prochain Championnat du monde junior…

Pour la petite info, le Canadien ne voulait même pas repêcher Primeau, au départ ! Au final, l’audace de l’équipe de recruteurs du Tricolore aura payé.

Bref, cessons de nous égarer et rentrons dans le ventre du sujet.

D’après l’excellent Brian Wilde, Cayden Primeau fait partie des trois meilleurs espoirs chez les gardiens de but dans le monde.

Et avec ce que Primeau nous a montré depuis deux ans, c’est probable que cela soit le cas. Du moins, il ne fait aucun doute qu’il fasse partie du top 5 en compagnie d’Ilya Samsonov, Ilya Sorokin, Jake Oettinger ou encore Carter Hart.

C’est écrit dans le ciel : Cayden Primeau sera le successeur de Carey Price. Ceci étant dit, le premier nommé n’a toujours pas signé de contrat avec le Tricolore.

Le Canadien a encore 2 ans et demi pour le faire…

Il n’empêche que lorsque Primeau sera prêt à faire le saut dans la LNH – et cela pourrait être moins long qu’on ne le pense – Carey Price sera toujours sous contrat, pour encore de longues années.

Et tant que Carey Price sera là, personne ne pourra prendre la place de #1. Je vous rappelle qu’il est signé jusqu’en 2026…

Primeau, lui, voudra assurément obtenir ce poste, à un moment ou un autre. Ça pourrait éventuellement le pousser à atteindre (et donc de ne pas signer avec le CH) l’autonomie complète afin de signer avec une équipe qui a besoin d’un gardien partant.

Il reste encore du temps. Mais il est toujours bon de penser à l’avenir, surtout lorsqu’il est prometteur.

Cela semble être le cas, du côté de Montréal.

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