Des fois, ça prend du temps avant qu’un jeune joueur parvienne à éclore dans la Ligue nationale.
Le développement des gars est différent, et on le voit cette saison avec Alexis Lafrenière.
En fait, on le voit depuis 32 matchs, alors que le joueur des Rangers de New York performe à la hauteur des attentes depuis une trentaine de matchs.
On attendait beaucoup de lui dans la Grosse Pomme parce qu’évidemment, il a été sélectionné avec le tout premier choix au total en 2020.
Laffy a eu des saisons de 21 points (56 matchs), 31 points (79 matchs) et 39 points (81 matchs) avant d’amorcer la campagne actuelle… Mais il connaît de loin ses meilleurs moments en carrière présentement.
Le Québécois a 56 points au compteur cette saison, mais il a 16 buts et 30 points à ses 32 derniers matchs. Il ressemble de plus en plus à un premier choix :
Alexis Lafreniere in his last 32 games:
— 16 goals
— 30 points (38th in NHL)
— 28 points at even strength (11th in NHL)
— +13
— 52.57 5v5 Corsi% (2nd on Rangers)Laf is starting to hit his stride. pic.twitter.com/KMGRtGQ0A6
— Big Head Hockey (@BigHeadHcky) April 8, 2024
Alexis Lafrenière est maintenant établi comme un joueur important dans la formation des Rangers.
Tout comme Juraj Slafkovsky à Montréal.
Le parallèle est intéressant à soulever entre les deux joueurs parce qu’ils sont des premiers choix… Mais aussi parce que l’an passé, c’était toujours la même question qui revenait quand on parlait des deux joueurs.
« Qui prendrais-tu dans ton club entre Slaf et Laffy? »
Aujourd’hui, si on reposait la question, probablement que les réponses seraient unanimes… Des deux côtés de la médaille.
À New York, on adore Alexis Lafrenière et à Montréal, on adore Juraj Slafkovsky.
Laffy fit bien dans la formation des Rangers… Et Slaf fit bien sur le premier trio de l’équipe, aux côtés de Nick Suzuki et Cole Caufield. Le CH et les Rangers ont trouvé leur homme, donc…
Somme toute, de voir le jeune joueur des Rangers en pleine confiance dernièrement permet vraiment de croire qu’il a trouvé sa place à New York. Il comprend son rôle, il joue de la bonne façon et ça lui permet d’inscrire des points, et il est tellement confiant qu’il se permet des petites fantaisies sur la patinoire.
On l’a vu dernièrement, justement contre le CH :
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