Vous savez, à travers ce gros brouillard, on y perçoit du positif. Je parle évidemment de tout le négatif duquel le Canadien est prisonnier. Des récits positifs, c’est tout de même plausible dans tout ce brouhaha, on a qu’à penser à Brendan Gallagher.
Le petit numéro 11 s’est relevé d’une campagne 2016-17 pitoyable et d’une certaine façon, il est en train de fermer le clapet de ses dénigreurs l’un après l’autre. Selon plusieurs, son style de jeu fait en sorte que sa carrière sera plus courte. Que sa pente descendante sera plus abrupte. Qu’il est dorénavant un acteur de soutien. Au contraire, Gally, en homme de caractère qu’il est, ne s’est pas laissé perturber par tout ça. Pendant la saison estivale, il s’est entraîné comme un forcené avec le paternel afin de rebondir…
Lors du calendrier 2016-17, il a noirci la colonne des buts à dix reprises en 64 duels. Cette saison-ci, il a déjà six buts au compteur en seulement 13 joutes. Ses dix points lui permettent de figurer au premier rang des pointeurs du Canadien, tout juste devant Shea Weber, qui en a neuf. Il est également le meilleur buteur des siens… Tout ça, en jouant moins de 15 minutes par match en moyenne. Bref, il a repris « sa » place au sein de cette équipe. Est-ce que le fait d’avoir une copine dans sa vie lui permet d’avoir toute cette énergie?
Parce que, selon les recherches de nos collègues de 25Stanley, la bougie d’allumage du Canadien serait fort probablement en couple.