On fait déjà caca en abondance sur le Canadien de Montréal. Combien de joutes ont-ils derrière la cravate en 2017-18? Aucune rencontre régulière, mais trois préparatoires. La saison n’est même pas amorcée qu’une pluie de commentaires négatifs tombe déjà sur le Canadien. Ces commentaires sont véridiques certes, mais ils prouvent que le peuple du Québec n’est pas indulgent. Oui. Galchenyuk, McCarron et Scherbak se pognent le beigne. Le bleu-blanc-rouge subit la paresse de McCarron et Scherbak, alors qu’il a tout simplement à stopper ça drette là.
Dans le cas du numéro 27, qui semble en forme physique discutable, son pied est déposé sur le frein au lieu d’appuyer sur l’embrayage. En même temps, Éric Lavigne, un ancien entraîneur-chef au sein de la LHJMQ avance que l’intelligence hockey d’Alex Galchenyuk demeure très limitée.
Lavigne a encensé Drouin… et sa politesse a dégringolé au sujet du Galchenyuk. Pour qu’un joueur s’établisse comme joueur de centre, son QI doit être élevé et c’est le cas de Jonathan Drouin. Son hockey sense est exceptionnel, c’est une coche au-dessus des autres. Chucky, c’est un joueur d’instinct. Son QI hockey demeure extrêmement faible. « Il n’a pas de QI hockey! »
Ses meilleurs moments au sein de la LNH sont survenus lorsque l’équipe a délaissé un brin sa structure puisqu’il n’y avait plus d’enjeu. Je parle ici de la deuxième moitié de saison merdique de 2015-16. Lorsqu’il y a un enjeu, un joueur ne peut pas seulement improviser. Il doit être créatif afin de créer des choses. Lavigne a touché là où ça fait mal, mais c’est vrai. Ce choix de premier tour demeure un joueur dynamique… doté d’un sens du jeu excessivement limité.