betgrw

Pénalité : Cole Caufield a perdu son pari contre Christian Dvorak

Hier, pour la première fois de la saison, Cole Caufield a écopé d’une pénalité. Disons qu’à ce niveau-là, il n’est pas exactement Arber Xhekaj puisque l’Américain pourrait bel et bien se battre pour le Lady Bing.

Il est une vedette malgré sa petite taille, il est un gentilhomme et il ne rate pas de matchs : il est vraiment l’émule de son entraîneur.

Bref. Tout ça pour dire qu’il est assez impressionnant de voir qu’il arrive à rester loin du banc de pénalité depuis son arrivée dans la LNH. Séries incluses, il n’a que 14 minutes en 142 matchs, ce qui est assez fou.

Sa dernière pénalité remontait au 5 avril, pour ceux qui se le demandent.

On peut se demander ce qui a motivé Caufield à rester loin du banc des pénalités. Il y a bien évidemment le désir de ne pas être puni et d’être sur la glace le plus souvent possible.

Mais il y a plus que ça.

En voyant que Christian Dvorak et lui ne prenaient pas de pénalité cette saison, les deux Américains ont choisi de parier. En gros, le premier joueur qui offrait un avantage numérique à l’autre équipe perdait.

Et hier, Caufield a perdu.

Il est important de noter que Dvorak a deux pénalités mineures cette saison, mais dans le pari, il fallait offrir un avantage numérique à l’adversaire. Et les deux fois où le centre a été puni, il a aussi généré une punition à un adversaire.

Caufield, lui, a offert un power play aux Jets hier.

Je ne sais pas s’il y avait un enjeu monétaire ou si quelque chose a été mis en jeu dans le cadre du pari (c’était peut-être simplement pour l’honneur, aussi), mais ça a poussé les gars à se dépasser. Et s’il y en avait un, enjeu monétaire… Dvorak aurait peut-être dû attendre à l’an prochain, alors que Caufield touchera plus d’argent. 

À choisir, j’aime mieux voir Caufield (qui a purgé des pénalités d’équipe cette saison) au cachot plutôt que Dvorak. Après tout, ce dernier joue à court d’un homme… et il peut difficilement le faire depuis le banc des accusés.

PLUS DE NOUVELLES