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Pascal Dupuis aimerait-il rejoindre Joël Bouchard avec le Rocket?

La nouvelle du jour, sans conteste, a été l’embauche de Joël Bouchard à titre d’entraîneur-chef du Rocket de Laval. Tout le monde s’y attendait un peu, mais c’est maintenant confirmé. Bouchard a eu le choix de prendre le poste qu’il désirait, et il a décidé de vivre l’aventure avec le club-école du Canadien.

L’une des questions qui revenait, ce matin, après l’annonce, concernait ses adjoints. On nage encore dans le néant, à ce propos.

Raphaël Doucet, analyste du Rocket au 91,9 Sports, a toutefois amené un excellent point à la table, ce soir.

Et si Pascal Dupuis, un bon ami de Bouchard, était invité à se joindre à l’équipe d’entraîneurs? Non seulement est-il un grand chum du nouveau coach, il avait été aperçu à plus d’une reprise aux matchs de l’Armada, au cours des dernières années.

Comme Doucet le dit, Dupuis n’a aucune expérience en tant qu’entraîneur-chef. Par contre, il a joué au hockey très récemment et pourrait bien être tenté de replonger dans la game. Être analyste à TVA Sports, c’est bien beau. Mais lorsque tu as passé plus de 20 ans de ta vie à jouer au hockey… L’envie reviendra un jour de retourner sur la route en tant qu’entraîneur. Plusieurs anciens joueurs finissent par se laisser tenter. Vous n’avez qu’à regarder Rod Brind’Amour, en Caroline. 

L’ancien des Penguins pourrait débuter sa carrière derrière le blanc près de chez lui, à Laval, et apprendre d’un excellent entraîneur.

La question qu’on doit se demander, par contre, est à savoir si une équipe de la LNH serait déjà prête à lui faire une place. Plusieurs facteurs sont à considérer.

Les options sont logiques, malgré tout, vu la relation entre Bouchard et Dupuis. On ne connaît toutefois pas les intentions de ce dernier. Peut-être a-t-il besoin d’encore quelques années loin de l’action avant de vraiment vouloir y faire un retour?

C’est du moins ce qu’on peut déduire de ce texte, où il mentionne vouloir vivre une vie un peu plus stable.

Laval, ce n’est pas loin, mais les voyages d’autobus peuvent être l’enfer. Et si un poste administratif se libérait, à Montréal, ça pourrait être un bon début?

Qui sait…

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