Depuis l’arrivée de Martin St-Louis, on sent un vent de fraîcheur au sein du club. Le Canadien ne gagne pas plus régulièrement, mais il ne perd pas par des marques de 8-2 non plus… De toute façon, c’est ça qu’on veut présentement : perdre en temps réglementaire par un ou deux buts. #ShaneWright.
Depuis son arrivée, l’ancienne vedette du Lightning de Tampa Bay a vraiment implanté un style concept de jeu. D’ailleurs, ses joueurs respectent beaucoup ce concept et le comprennent très bien. D’où proviennent les bons résultats.
Contrairement au nouvel entraîneur-chef par intérim de la Flanelle, les deux anciens pilotes, Claude Julien et Dominique Ducharme, n’ont jamais pu instaurer leur approche.
En fait, dans son texte au Journal de Montréal, José Théodore affirme que Michel Therrien était le dernier entraîneur-chef à avoir apporté son empreinte à l’équipe. Lors de l’embauche de Julien, la chimie entre Marc Bergevin et lui n’était pas à son plus fort. Même chose de la chimie entre MB et Ducharme.
Voilà qu’avec une nouvelle gang dans la haute direction, tout a changé. St-Louis, Gorton, Hughes et Lecavalier semblent avoir toute la même vision, ce qui facilite à un entraîneur recrue de mettre son grain de sel. Faut dire également que St-Louis n’est pas un coach défensif comme l’étaient Julien et Ducharme.
Je ne sais pas pour vous, mais les dernières histoires sur Bergevin me font réaliser à quel point il n’était peut-être pas un homme bon. Je suis/j’étais l’un de ses plus grands fans lorsqu’il était à la barre de l’équipe pour ces nombreuses (bonnes) transactions, mais au niveau relationnel, il ne semblait pas être un ange disons. Il ne connaissait même pas le prénom de ses espoirs…
Les jeunes semblent plus valorisés sous le nouveau régime du Canadien → https://t.co/C0uhdOsMhs
— DansLesCoulisses (@DLCoulisses) April 4, 2022