Tout comme son bon ami Marc-André Fleury, Jonathan Marchessault a de la difficulté à se remettre de la défaite en finale de la Coupe Stanley contre les Capitals de Washington.
Jonathan Marchessault: «Il y a de belles années devant moi» https://t.co/V9kweoJfRa
— La Presse Sports (@LaPresse_Sports) August 14, 2018
Passer si près de la Coupe Stanley lui laisse quelques regrets et des souvenirs douloureux. Il mentionne qu’il n’est pas satisfait de sa contribution individuelle. Qu’il aurait aimé en donner davantage afin que son équipe gagne la série finale.
Selon lui, son trio n’a tout simplement pas donné son maximum. Évidemment, en étant perdant, il veut tout simplement trouver une réponse à cette défaite dure à avaler à la suite de la saison exceptionnelle que l’équipe a connue.
Pourtant, il n’a pas à se reprocher grand chose. Il était une menace permanente pour l’équipe adverse. Il a eu plusieurs occasions de marquer sans pour autant enfiler la rondelle dans le but. C’est ce qui lui joue dans la tête. Qu’est-ce qui se serait passé s’il avait marqué? Personne ne le sait.
De plus, 6 de ses 21 points en séries éliminatoires ont été marqués lors de la série ultime. Il a donc accumulé plus qu’un point par partie face aux Capitals. Une statistique que plusieurs joueurs en finale n’ont pas atteint.
Pour les prochaines situations similaires, il mentionne qu’il se met la pression d’être meilleur qu’il ne l’a été en cette finale de la coupe Stanley. Une remarque qu’il compte bien respecter dans les années à venir. Voilà une attitude très honorable de la part du Québécois.
Il faut dire que les Golden Knights ont encore les atouts pour être une équipe redoutable. Une équipe qui sera capable de se rendre en série éliminatoire. Et rendu là, tout est possible.
Jouer avec un bon ami et apporter une certaine stabilité pour sa famille est quelque chose qui se prend bien. Il a tout de même quelque chose de positif qui se dégage de sa dernière saison. Les 6 prochaines années seront agréables pour ce joueur.