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Luc Gélinas n’a jamais senti Cole Caufield aussi heureux que cette saison

Même si Cole Caufield est un gars qui n’a pas peur de cacher sa personnalité, depuis deux ans, on l’a senti plus méfiant avec les médias.

Devant les caméras, il n’avait pas le sourire et la personnalité qu’il a jadis eu à ses débuts dans la LNH. Luc Gélinas l’a dit plus tôt aujourd’hui à BPM Sports : il est arrivé quelque chose à Caufield il y a deux ans. Il était donc sur ses gardes.

Mais cette saison, le 13 a changé. Gélinas le trouve comme quand il est arrivé. « Je ne l’ai jamais senti aussi heureux que cette saison ». C’est une bonne nouvelle, car un Caufield heureux est mille fois mieux qu’un Caufield marabout.

Caufield voyait beaucoup de rumeurs sur les médias sociaux à son sujet, mais les joueurs mettent les blogues, les sites à potins et les chroniques des journalistes sur le beat dans le même bateau. Selon le journaliste à RDS, lorsqu’il a démêlé tout ça, c’était déjà mieux.

Il est maintenant heureux comme jamais et Gélinas le trouve plus sincère dans ses réponses, ce qui est toujours mieux pour les journalistes.

Le sujet a été amené lorsque Greg Lanctot s’est demandé si on devait s’inquiéter de la production offensive de Cole Caufield.

Après tout, oui il a huit passes en 10 matchs depuis que Patrik Laine est de retour, mais il n’a aussi trouvé le fond du filet qu’à une seule reprise. Depuis le 7 décembre, le petit Américain reste à 17 buts. C’est bien, mais il était en voie d’en marquer beaucoup plus avant l’arrivée du Finlandais.

L’invité à BPM Sports n’est pas inquiet, lui, et est persuadé que les occasions vont arriver pour Caufield et les autres joueurs. Depuis que Laine est de retour, aucun autre joueur n’a marqué en avantage numérique. Lane Hutson est passé bien proche lors du dernier match, mais l’avantage numérique était terminé depuis quelques secondes.

En tout cas, avec Hutson, Caufield, Laine, Nick Suzuki et Juraj Slafkovsky sur la première vague du jeu de puissance, Gélinas est d’avis qu’il n’a absolument rien à envier à des jeux de puissances comme ceux du Lightning et des Panthers.

C’est rare qu’il y a eu autant de talent sur une première vague à Montréal, en tout cas.

En rafale

– Sommes-nous surpris?

– Il est en bonne compagnie.

– C’est bien.

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