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La LNH devra s’adapter à la légalisation de la marijuana

Dès le mois d’octobre, il sera légal de consommer de la marijuana dans des conditions récréatives au Canada. Dans la majorité des provinces, l’âge légal sera de 18 ans, mais dans certaines autres, il sera de 19.

La légalisation de cette plante bouleversera le monde de différentes manières.

Oui, ses impacts seront aussi ressentis dans la LNH, alors qu’une certaine réglementation pourrait être revisitée.

En effet, une entente informative pourrait être un enjeu dans un futur très rapproché. Maintenant qu’il est légal de fumer le cannabis au nord de la frontière américaine, 14 équipes de la LNH se trouvent dans un État/Province où l’usage récréatif est permis.

  • Canucks de Vancouver (Colombie-Britannique)
  • Oilers d’Edmonton (Alberta)
  • Flames de Calgary (Alberta)
  • Jets de Winnipeg (Manitoba)
  • Maple Leafs de Toronto (Ontario)
  • Sénateurs d’Ottawa (Ontario)
  • Canadiens de Montréal (Québec)
  • Sharks de San Jose (Californie)
  • Kings de Los Angeles (Californie)
  • Ducks d’Anaheim (Californie)
  • Golden Knights de Vegas (Nevada)
  • Avalanche du Colorado (Colorado)
  • Capitals de Washington (D.C.)
  • Bruins de Boston (Massachusetts)

Plusieurs états ont décriminalisé la drogue jusqu’à un certain niveau, certains la légaliseront bientôt, et la prochaine franchise de Seattle se trouvera également dans un État où la plante est légale.

On croit que la LNH approche un point où elle permettra à tous ses joueurs de consommer librement. Déjà, la marie-jeanne ne figure pas sur la liste des drogues bannies et les joueurs ne sont pas testés pour cette dernière. 

Le circuit Bettman est déjà le plus progressiste des quatre grands circuits nord-américains.

D’un côté médicinal, la LNH et la LNHPA devraient d’ailleurs bientôt conseiller les médecins des équipes sur la façon qu’ils devraient prescrire la marijuana aux joueurs.

Parce que oui, les effets de soulagement de douleurs sont réels et pourraient réellement aider à contrer les effets des traumatismes crâniens.

« Il y a des études scientifiques qui suggèrent que la marijuana peut protéger le cerveau dans des cas de traumatismes crâniens. Dans un article publié par le Dr. Brian Nguyen, il conclut que des données supportent que les cannabinoïdes apportent un effet neuroprotectif dans des cas de TBI. »

L’ancien joueur Riley Cote avait milité pour faire connaître les effets positifs de la plante, comment l’utiliser, quelle quantité en prendre, afin d’offrir une nouvelle alternative aux joueurs afin de se sentir mieux.

Dans son cas, son anxiété avait grandement été aidée. Mais de nombreux autres problèmes peuvent être réglés par la consommation du cannabis.

Est-ce que la marijuana pourrait devenir chose normale, dans les prochaines années, dans la LNH?

Ça reste à voir.

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