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La Cage a trouvé une solution pour payer la hausse de tarifs de RDS et TVA Sports

De nombreux restaurants/bars ont décidé de ne pas poursuivre avec les hausses de prix des chaînes sportives RDS et TVA Sports. On parle ici d’une hausse déraisonnable, qui a poussé certains propriétaires à réviser leur forfait télé. Certains des bars ont opté pour des solutions illégales, d’autres ont choisi l’une ou l’autre des chaînes et certains ont tout simplement cancellé le tout…

La province du Québec n’avait toujours pas subi les répercussions de cette surenchère des réseaux pour l’obtention des droits de diffusion de la LNH… Tout le Canada a vécu cela au préalable et le Québec vient d’y goûter. Aujourd’hui, il y a RDS et TVA Sports, donc deux réseaux qui diffusent les joutes du Canadien (une soixantaine de joutes pour RDS). La plupart des rencontres du CH se jouent sur RDS, mais les autres matchs ainsi que les séries et événements spéciaux de la LNH, ça se passe sur TVA Sports. Bref, les bars se doivent de conserver les deux chaînes pour leur clientèle.

Capture d’écran YouTube

On parle d’une hausse entre 20 et 500 dollars par mois, tout dépendant de la capacité en question du restaurant et du bar. La Cage, par exemple, a vu son tarif mensuel augmenter d’environ 500 dollars par restaurant, ce qui donne 5000$ à la fin de la saison de hockey. Jean Bédard, le président du groupe Sportscene, pour éviter certains coûts, a décidé de conserver seulement l’un des deux distributeurs (Bell et Vidéotron). La Cage avait les deux au préalable.

Imaginez un instant le total pour toutes les Cages du Québec, on parle ici de montant d’un 220 000 dollars pour les 44 bâtisses à travers le Québec.

Pour absorber cette hausse, monsieur Bédard ne chargera pas cela sur la facture de ses clients, mais bien à partir de leurs fonds nationaux de publicité : « On a décidé d’absorber la hausse avec notre fonds national de publicité, auquel tous les restaurants contribuent. L’argent qu’on met dans ces droits de diffusion, on ne le mettra pas en marketing. » – Bédard

Pour lire l’article en entier, ça se passe ICI.

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