Juraj Slafkovsky a une personnalité fantastique.
Il est bon devant les caméras, il a toujours le sourire au visage…
Et il ressemble la plupart du temps à un gros kid de 19 ans qui ne fait qu’avoir du plaisir avec ses chums.
Le jeune homme s’est notamment donné en spectacle après l’entraînement du CH à Edmonton en répondant aux questions des journalistes.
Il a dit que Xhekaj et lui font la misère à Brendan Gallagher tous les jours, ce qui a faire rire les journalistes sur place :
“He’s kinda just mad because me & Arber kinda like own him everyday.”
“In practice?”
“No no, not in practice, just like in regular life ya know?
– Juraj Slafkovsky on Brendan Gallagher 😅 https://t.co/nOCh1Q6a8e
— /r/Habs (@HabsOnReddit) March 18, 2024
Slaf a parlé de son jeu dernièrement, il a parlé de ce qui attend le club contre les Oilers…
Et il a aussi envoyé une flèche aux médias du Québec (de façon humoristique).
Questionné à propos de l’arrivée de David Reinbacher, Slaf a dit qu’il n’hésitera pas à lui envoyer un message pour lui donner quelques conseils…
Mais le Slovaque a aussi affirmé qu’il va voir Reinbacher plus souvent sur son feed Instagram parce que les médias « vont parler de lui tous les jours » :
Sassy Slaf has returned and I love it 😂 pic.twitter.com/iUXKouTicE
— HFTV (@HFTVSports) March 18, 2024
Slaf a fini sa phrase et on a vu à quel point son sourire était énorme.
Il était fier de sa shot, le kid. Genre, vraiment fier.
Cela dit, les gars n’arrêtent pas de dire qu’ils ne vont pas sur les réseaux sociaux et qu’ils ne lisent pas ce qui est écrit dans les médias.
On s’entend-tu que Juraj Slafkovsky vient d’affirmer le contraire?
Mais…
« Les joueurs ne suivent pas les médias » 😅😅 https://t.co/e0lv1t7SZ2
— Maxime Truman (@MaximeTruman) March 18, 2024
Évidemment, tout ça s’est fait de façon amicale. Les journalistes ont embarqué dans sa game et ça a fait un beau moment.
C’est beau de voir l’ambiance qu’il y a dans la chambre malgré les circonstances qui entourent l’équipe en ce moment.
Et c’est beau aussi de voir que Juraj Slafkovsky gagne en confiance de la sorte tous les jours. Ça se voit qu’il prend ses aises, autant sur la patinoire qu’en dehors de celle-ci.