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Joel Armia : le Canadien a tourné le dos à un choix de deuxième ronde

Aujourd’hui, le Canadien n’a rien fait en marge de la date limite des transactions. À part envoyer Owen Beck et Jakub Dobes à Laval sur papier.

Évidemment, cela ne veut pas dire que Kent Hughes a passé la journée à se tourner les pouces. Il a placé de nombreux appels afin de voir s’il était possible d’améliorer son club.

Et il est arrivé à la conclusion que ça ne valait pas la peine. Et c’est correct, si vous voulez mon avis.

Mais parmi ses appels, il y a aussi eu des dirigeants qui voulaient savoir à quel point il était possible de voir si les joueurs de location du Canadien pouvaient prendre le chemin d’une autre équipe.

Selon Elliotte Friedman (32 Thoughts Podcast), l’intérêt envers David Savard n’était pas forcément le plus grand. Et en raison de son contrat, Christian Dvorak n’a pas été exactement l’homme le plus en demande non plus.

Mais Joel Armia, lui? C’est différent.

Eric Engels, pour le compte de Sportsnet, a pondu un papier dans lequel il a mentionné que le Canadien était en position d’échanger le Finlandais, mais que ce n’est pas arrivé.

Les sources avec lesquelles on a communiqué ont dit que le Canadien aurait pu avoir un choix de deuxième ronde pour Joel Armia vendredi, mais que le club a tourné le dos à cette possibilité-là. – Eric Engels

Récemment, on apprenait que si le Canadien avait un deuxième choix sur la table pour Savard ou Armia, une transaction pouvait être possible. Mais ce n’était pas non plus une assurance.

Et visiblement, à la lumière de ce qu’on a vu, le Canadien a préféré croire en son groupe plutôt que d’ajouter un choix de qualité. Je suis persuadé que les gars ont compris le message et ont apprécié le tout.

Est-ce que Kent Hughes va s’en mordre les doigts cet été – ou au repêchage, s’il aime un espoir en particulier – si le Finlandais devait quitter le CH comme joueur autonome? Qui sait.

On verra en temps et lieu.

prolongation

Elliotte Friedman a aussi confirmé que le CH avait bel et bien évalué la possibilité d’effectuer une bonne vieille transaction hockey, mais que cela n’avait pas fonctionné pour le club.

Mon collègue Félix Forget a rapporté le tout dans un papier.

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