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Mike Commodore a (encore une fois) traîné Mike Babcock dans la boue

Mike Commodore a porté les couleurs des Bulldogs de Hamilton à l’époque où le club-école du Canadien était en Ontario. Il a disputé 17 rencontres sous les ordres de Sylvain Lefebvre… assez pour développer une drôle d’amitié avec Nathan Beaulieu.

Commodore a pris sa retraite un an plus tard, après avoir été passé quelques semaines à Vladivostok.

Mais avant tout ça, il est passé par le New Jersey, Calgary, la Caroline, Ottawa, Columbus, Detroit et Tampa Bay.

Durant son court séjour à Detroit (17 rencontres en 2011-12) a eu la chance de jouer sous les ordres de Mike Babcock. En fait, ce n’était pas une chance aux yeux de Commodore, si l’on se fie à quelques-uns de ses sorties publiques depuis.

Commodore a traité Babcock de piece of shit en 2015, allant même jusqu’à le comparer à Adolf Hitler.

Commodore n’est vraiment pas un fan de Mike Babcock!
(Crédit: Twitter.com)

Deux ans auparavant, Commodore avait avoué qu’il aurait dû suivre son gut feeling et ne jamais signer avec les Red Wings. Babcock ne l’avait pas traité convenablement selon lui neuf ans auparavant, chez les Ducks.

En 2016, Commodore est revenu à la charge en indiquant que Babock était la plus grosse trace de merde sur la planète.

En 2017, Commodore a indiqué qu’aucun vétéran libre comme l’air n’allait accepter de jouer pour Mike Babcock. Pourquoi? Parce qu’il n’a même pas le respect de ses joueurs, qu’il est un loser et qu’il est trop arrogant selon Commodore.

Un an plus tard, Tavares a choisi Toronto, mais bon…

L’été dernier, Commodore a avoué qu’il aimerait bien pouvoir frapper Babcock, mais que le temps en prison n’en vaudrait pas la chandelle. Il a même été jusqu’à traiter Babcock de vermine.

Eh bien, sachez que cette haine envers Babcock n’a pas diminué depuis.

L’entraîneur-chef des Maple Leafs a décidé de ne pas habiller Jason Spezza pour le premier match de la saison hier soir. Un premier match disputé à Toronto et face à la première équipe de Spezza, les Sens…

Spezza s’est dit triste de la situation.

Or, Commodore s’est permis un petit tweet hier soir. Scracther Spezza était un geste de vermine posé par la plus grande fraude de la game, selon Commodore.

À noter que Babcock avait aussi décidé de ne pas habiller Mike Modano un soir, lors du dernier mois de la saison 2010-11 (sa dernière année dans la LNH)… et que Modano a donc terminé sa carrière avec 1499 matchs. Ça, Commodore ne l’a pas oublié.

Visiblement, Commodore et Babcock ne doivent pas se rencontrer en public… parce que ça pourrait mal se passer!

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