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Les Sabres ont congédié, puis réembauché presque immédiatement un employé

La famille Pegula a montré la porte à près de 30 personnes – dont le DG de l’équipe Jason Botterill – plus tôt cette semaine.

Deux adjoints au DG, l’entraîneur des Americans de Rochester, ses adjoints, le directeur du recrutement amateur, une grande partie de ses scouts et même Mike Komisarek (entraîneur du développement) font partie de ceux qui ont perdu leur emploi mardi.

Kevyn Adams, qui occupait un poste administratif jusque là, a été nommé DG de l’équipe… et c’est lui qui a dû signifier à la plupart des gens congédiés qu’ils n’avaient plus d’emploi. La raison derrière tous ces départs? Une divergence d’opinion quant au futur de l’organisation entre Botterill et les Pegula… et une envie de recommencer à nouveau (et de faire table rase) avec les autres. Dire que trois semaines auparavant, les Sabres prévoyaient prolonger leur association avec Botterill…

Quel merdier! Surtout qu’une victoire face au Canadien le jour où la LNH a suspendu ses activités aurait pu tout changer! #SérieVsPenguins

Neuf printemps consécutifs sans séries éliminatoires, ça laisse des traces et ça épuise la patience de certaines personnes.

Or, on ne savait pas tout encore de cette triste histoire.

Elliotte Friedman nous a appris hier soir que Kyle Kiebzak, le directeur du département Hockey IT, a été congédié… puis réembauché presque immédiatement.

Comment est-ce possible? Semble-t-il que son congédiement était une erreur.

De ce que l’on peut comprendre, ce serait Kevyn Adams lui-même qui l’aurait congédié, puis réembauché. Tout ça à distance. Belle façon de commencer ton nouveau règne avec un employé…

On ne sait toutefois pas s’il s’agit d’une erreur d’Adams ou si les consignes erronées venaient d’en haut.

La seule chose 100 % logique dans toutes ces décisions, ça aura été de conserver Ralph Krueger en poste. L’entraîneur-chef des Sabres est respecté et apprécié de tous. Il a fait un bon boulot depuis qu’il a pris les rennes de l’équipe.

Par contre, on ne sait pas trop comment Jack Eichel et Rasmus Ristolainen, qui n’ont pas caché leur déception/frustration de jouer à Buffalo récemment, entrevoient leur avenir à court terme, eux. Pas sûr que j’aurais le goût de jouer dans ce cirque-là, moi… surtout qu’il ne semble pas plaire à de nombreux spectateurs non plus, ce spectacle-là.

Finalement, le circus dont parlait Jaroslav Spacek à Montréal, ce n’était pas si pire que ça…

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