Conor McGregor, en danger de mort, recherché par la mafia irlandaise

Le sport et la mafia se croisent malheureusement trop souvent.

Le nombre d’histoires reliant des athlètes à quelconque mafia ne se compte pas sur les doigts de la main, et ça ne changera vraisemblablement pas.

La dernière victime se nomme Conor McGregor. Selon Paul Williams, un enquêteur criminel irlandais, le combattant est dans de très, très beaux draps. Suite à une altercation déclenchée entre McGregor et une personne associée au dangereux cartel de Kinahan, dans un bar de Dublin.

Résultat? Il serait présentement recherché par la mafia irlandaise, qui a placé une étiquette de 900 000 euros, soit plus de 1.3 millions de dollars canadiens, au-dessus de la tête de la vedette.

Après avoir précisé que l’athlète était dans une situation extrêmement dangereuse où sa vie pouvait réellement être en danger, il y est allé de commentaires qui font sérieusement peur à propos du cartel concerné.

https://twitter.com/FloCombat/status/935995842200252416

Certaines personnes tentent toutefois encore de camoufler ce qui semble être la vérité, incluant le père de McGregor, qui a affirmé que les rumeurs ne faisaient aucun sens.

Il est vrai que s’il risquait d’être tué, les chances sont bonnes qu’il aurait déjà quitté le pays.

Et bien franchement, il n’a pas l’air d’avoir peur. De qui parlait-il? A-t-il confirmé de manière maladroite ce qui se dit à son propos?

Qui sait. On peut s’y attendre lorsqu’on parle d’une histoire qui inclut le mot ‘mafia’, mais ça demeure très louche.

La police de Dublin a confirmé être au courant d’une bataille dont McGregor aurait fait partie. Les représentants disent qu’ils sont présentement en train d’analyser les caméras de sécurité du bar où l’incident a eu lieu.

Apparemment, le background des hommes avec qui il a des problèmes ne fait que confirmer qu’ils n’ont aucune pitié, alors qu’ils ont commis des actes affreux, par le passé, et ce pour des choses bien moins graves que ce que McGregor a fait : «ils n’ont pas de paramètres. Ils n’ont pas de limites. Ils vous attaquent, vous tirent, ils font tout ce qui leur plaît.»

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