Cet été, Huberdeau a contacté son coach et son DG pour pouvoir s’améliorer

Depuis qu’il évolue pour les Flames, on ne voit plus le Jonathan Huberdeau que l’on voyait en Floride.

Ses deux premières saisons à Calgary ont été difficiles, et même plus encore.

Il a récolté 55 et 52 points (respectivement) lors des deux dernières saisons et ce n’est pas ce que tu veux voir de la part d’un joueur qui gagne un salaire de 10.5 M$ par année.

Mais là, même si l’échantillon est mince pour l’instant, les choses vont bien pour le Québécois depuis l’amorce de la campagne.

Il a notamment récolté six points (trois buts) en quatre matchs jusqu’à maintenant, mais ça va encore plus loin que ça.

Huberdeau est impliqué sur la patinoire et il se donne pour son club, ce qu’on n’a pas tout le temps vu dans les deux dernières années.

Et il y a peut-être une raison qui explique le fait que ça fonctionne en ce moment.

Selon Pierre LeBrun (podcast Radar), Huberdeau a tenu à parler à Craig Conroy (DG) et Ryan Huska (entraîneur-chef) pour voir ce qu’il peut améliorer dans sa game.

Et à mes yeux, ça démontre une belle volonté de sa part :

Jonathan Huberdeau gagne beaucoup d’argent par année et sa job, c’est de produire sur la patinoire.

Par contre, quand c’est difficile pour un joueur sur la patinoire, il y en a qui décident tout simplement d’abandonner.

Ce n’est pas le cas avec Huberdeau qui, à 31 ans, a encore de belles années devant lui dans la LNH s’il reste en santé.

L’organisation des Flames doit vraiment être satisfaite de son attitude parce que ça amène des résultats sur la patinoire.

Après tout, je ne sais pas si vous étiez au courant… Mais les Flames ont gagné leurs quatre premiers matchs de la saison et la formation est toujours invaincue à l’heure d’écrire ces lignes ! 

Huberdeau a décidé de faire les efforts nécessaires pour s’améliorer et il y a ça qui est important aussi : quand un leader d’une équipe se donne à fond, ça donne encore plus de motivation au reste du groupe.

Et visiblement, Huberdeau fait un bon travail dans ce domaine-là depuis le début de la saison.

En rafale

– Déjà?

– Le bon vieux Malkin.

– C’est surprenant pour l’Avalanche.

Here we go again… 

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