Selon Mark Barberio, un divorce entre Matt Duchene et l’Avalanche est souhaitable | Subban est mieux reçu aux États-Unis

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Après avoir accueilli Phillip Danault jeudi, l’Antichambre avait la chance d’ouvrir ses portes à Mark Barberio hier soir. Disons que l’entrevue a attiré plus d’attention, maintenant que le troisième tour dans la NHL et la NBA est terminé…

Et parce que Barberio a été très intéressant! Disons qu’il n’a jamais eu la langue dans sa poche, même si cela a pu jouer contre lui, cette saison.

Mathieu Darche n’a pas mis de temps à mettre le défenseur montréalais dans l’eau chaude en lui demandant s’il serait surpris de voir Matt Duchene échangé.

Barberio ne s’est pas défilé : selon lui, Matt Duchene aimerait quitter le Colorado, et cette situation serait également la meilleure pour l’équipe. Le centre canadien n’a fait les séries que deux fois depuis son arrivée avec l’équipe et aimerait bien y retourner.

L’ancien du Canadien n’a pas tari d’éloges à l’endroit de Duchene, en vantant son patin, sa protection de rondelle et son travail dans les coins. Il ferait une belle acquisition pour plusieurs équipes dans la Ligue.

Apparemment, Duchene a été un pro toute la saison. Jamais ses coéquipiers n’ont eu le sentiment qu’il voulait partir. C’est quand même quelque chose que ton propre coéquipier parle de ton départ sans tabou, à la télévision…

Dans un autre ordre d’idée, Barberio a mentionné que les deux espoirs du Canadien les plus près de la Ligue nationale étaient Michael McCarron et Charles Hudon. Je commence à avoir hâte en maudit d’entendre quelqu’un dire quelque chose de négatif sur Hudon, pour que je puisse comprendre pourquoi il pourrit encore dans la Ligue américaine…

Ah oui! Tout comme Louis Leblanc Barberio a bien aimé Sylvain Lefebvre, lors de son parcours à St-John’s. Il a vanté ses talents de communicateur avec les jeunes joueurs. Je garde toutefois mes réserves.

Finalement, l’ancien défenseur du CH a indiqué que le message de Michel Therrien ne passait tout simplement plus dans le vestiaire de l’équipe. Ça ne veut pas dire que Therrien était un mauvais coach, mais il avait tout simplement fait son temps derrière le banc du Canadien.

En rafale

– Oui, les partisans américains tiennent peut-être plus compte du talent que ceux du Canada, mais de dire que P.K. Subban n’aimait pas être reconnu dans les rues de Montréal, c’est ridicule. Subban aimait l’attention qu’il recevait ici. Ce n’est pas du tout la cause de l’échange.

– Parlant du loup, le père de Subban a avoué qu’il aura toujours le Canadien dans son coeur.

– Excellente nouvelle!

– Très belle histoire.