Plusieurs spécialistes s’acharnent sur les Islanders de New York, surtout depuis le départ de John Tavares vers Toronto. Avec le 91 au sein du groupe, cette formation a été exclue à deux reprises (lors des deux dernières années) du tournoi printanier, donc imaginez sans celui-ci. Le catalyseur n’y est plus, mais Johnny Boychuk et Josh Bailey s’en foutent. Selon eux, les Islanders de New York ont encore un excellent noyau, et ce, même sans la présence de John Tavares.
Notre équipe est vraiment bonne. Je pense que nous allons leur montrer que nous sommes une bonne équipe. – Boychuk
Le vétéran défenseur a également indiqué que le hockey n’était pas l’histoire d’un seul joueur… Un gars ne peut pas porter une équipe à lui seul, certes, mais il peut faire une différence majeure au sein de l’une d’elle. Remplacer un Tavares par un comité, c’est comme remplacer Andrei Markov pour un groupe de défenseurs. Ce n’est pas comme ça que ça fonctionne.
Johnny Boychuk and Josh Bailey aren’t listening to those writing off the Islanders.https://t.co/hdz2oHEDgB
— Sportsnet (@Sportsnet) July 23, 2018
Nous montrer à quel point vous êtes VRAIMENT bon… C’est vrai que Mathew Barzal, c’est de la dynamite. Il est explosif et il a connu une saison recrue magistrale, lui qui a mis 85 points (en 82 matchs) au compteur. Il a réalisé une tonne de flashs, c’est vrai… mais en plus de la deuxième année complète, qui peut se transformer en guigne, il aura la pression supplémentaire de devenir le visage du club. C’est de la pression en titi, ça!
Pour ce qui est de Bailey, il a hâte que la saison s’amorce afin de démontrer que ses coéquipiers et lui auront un couteau entre les dents. Il ne se soucie pas des propos dégradants au sujet de son équipe et le but du groupe demeure le même : remporter des victoires. Bailey, Barzal et Anders Lee seront désormais les pièces maîtresses des Islanders. En plus de ça, Lou Lamoriello a jouté des pions comme Leo Komarov, Valtteri Filppula et Tom Kuhnhackl, qui apporteront de l’expérience.