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Si Jesperi Kotkaniemi était resté à Montréal, Nick Suzuki n’aurait pas signé pour huit ans

Deux sujets font jaser depuis le début de la saison : Nick Suzuki et son énorme pacte et les déboires du Canadien depuis le début de saison. Mais depuis hier, Jesperi Kotkaniemi semble être (encore) un sujet de l’heure.

C’était donc le sujet principal du Sick Podcast de Tony Marinaro. Son invité, Brendan Kelly, de Montreal Gazette, est allé de propos intéressant liant le contrat de KK à celui de Nick Suzuki. Selon lui, si Kotkaniemi était resté à Montréal sur les modalités d’un contrat pont de deux ou trois saisons, Nick Suzuki ne serait pas signé en vue des huit prochaines saisons.

Pourquoi? Parce que Marc Bergevin ne se sentirait pas dans l’obligation de le lock pour autant d’années. En d’autres mots, Kelly croit que Bergevin, en raison de ce qui lui est arrivé avec le Finlandais, craignait une offre hostile des Hurricanes lorsque le contrat pont de Nick Suzuki allait arriver à échéance. C’est pour cette raison qu’il a fait sûr de le garder jusqu’en 2030.

Voyez cette discussion entre Marinaro et Kelly.

Bon, je doute que les Hurricanes auraient déposé une offre hostile à Suzuki, mais sait-on jamais? Je doute encore plus que le Canadien n’aurait pas égalé cette offre.

Finalement, Suzuki est un membre du Canadien au moins jusqu’en 2030 et les partisans peuvent dormir : la Caroline ne pourra pas lui déposer une offre hostile, jamais, d’ailleurs. Mais l’équipe américaine pourrait en déposer une à Cole Caufield et Kaiden Guhle dans les prochaines années. Ça n’arrivera (très fort probablement) pas. 

Encore une fois, on ne peut pas être sûr à 100 %. Lorsqu’on croyait que la guerre était terminée, les Hurricanes ont rajouté de l’huile sur le feu via les médias sociaux…

Brendan Kelly a également affirmé à Tony Marinaro qu’il croit que les Hurricanes ne voulaient pas réellement KK à 6,1 millions de dollars, mais qu’ils voulaient plutôt ruiner les plans du CH. Je suis loin d’être d’accord avec ces propos, mais s’il a raison et que Tom Dundon a vraiment basé ses décisions organisationnelles sur une vengeance, le DG descendra encore plus profond dans l’estime de bien des gens (déjà qu’il n’est pas très haut). Mais je pense bien qu’il s’en fout.

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