Le Canadien aura trois représentants à la Confrontation des quatre nations : Joel Armia, Patrik Laine et Samuel Montembeault.
Le cas de Montembeault est sans doute celui qui fait le plus jaser. Après tout, plusieurs se demandent jusqu’à quel point il mérite sa place et jusqu’à quel point il n’est pas là «par défaut» en tant que Québécois.
Mais Patrik Laine fait aussi jaser, compte tenu du fait qu’il vient à peine de recommencer à jouer. Il savait cependant depuis des mois qu’il avait des chances d’être choisi.
#Habs Patrik Laine said he spoke with Team Finland’s coaching staff and management this summer and knew if he was back playing the way he can, he was going to be named to the 4 Nations roster.
— Priyanta Emrith (@HabsInHighHeels) December 5, 2024
Et les oubliés, eux?
Même si on se doutait qu’il y avait des chances de voir Nick Suzuki et Cole Caufield être laissés de côté, il n’en demeure pas moins que les gars n’ont pas apprécié de ne pas être choisis.
Et à ce sujet, Nick Suzuki a défendu son coéquipier américain en se disant surpris qu’il soit laissé de côté. Après tout, aucun Américain n’a marqué plus que lui (16) cette saison.
Et ça, le CH a tenu à le dire.
rien à voir ici, seulement le meilleur marqueur américain dans la lnh cette saison
nothing to see here, just the best american goalscorer in the nhl this season#GoHabsGo pic.twitter.com/iSps3Z6ZAh
— Canadiens Montréal (@CanadiensMTL) December 5, 2024
C’est déjà ça.
#Habs Nick Suzuki says he was surprised Cole Caufield was left off Team USA’s 4 Nations squad and they both will use the snubs from their respective national teams as fuel going forward this #NHL season
— Priyanta Emrith (@HabsInHighHeels) December 5, 2024
Je me demande aussi à quel point le fait de jouer pour une mauvaise équipe a changé la donne – surtout dans le cas de Suzuki.
Pourquoi je dis ça? Parce que tel que souligné par Elliotte Friedman (32 Thoughts), l’un des seuls canadiens à avoir sa place au tournoi et qui évolue pour un club qui ne joue pas pour .500, c’est… Montembeault.
Written 32: https://t.co/FqgAN8FOqp
— Elliotte Friedman (@FriedgeHNIC) December 5, 2024
Le fait que Caufield soit omis est un signe que les Américains ne le voient pas sur leur top-6 – et que Caufield n’est pas un joueur défensif. Mais Suzuki, lui, il joue défensivement.
C’est sans doute ce qui le chatouille.
Notons aussi, tel que souligné dans le texte de Friedman, que les pauses commerciales seront encore plus longues que dans la LNH (60 secondes de plus) et que les meilleurs joueurs pourraient donc plus jouer.
Est-ce que cela a eu un rôle à jouer dans la composition du bottom-6 des équipes? Qui sait.