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Les simagrées de Max Domi n’ont rien « coûté » cette année

Le Canadien de Montréal réussi dans plusieurs facettes depuis l’amorce de la campagne, dont l’avantage numérique et sa façon de générer de l’offensive constamment (mais il accorde trop de buts). Cela dit, parmi les facettes plus négatives, il y a cette indiscipline choquante qui tarde à se replacer. Tomas Tatar est l’un de ceux qui décrochent trop souvent des pénalités stupides. Jusqu’ici, il est question de 28 pénalités mineures (17e rang de la LNH) et d’une moyenne de 7 minutes 39 au cachot par rencontre (19e rang).

Ce n’est pas si mal, vous me direz, mais dites-vous que le désavantage numérique affiche un pourcentage médiocre de 71%, bon pour le 27e rang du circuit à ce chapitre.

Mais là n’est pas le point. Max Domi reste Max Domi. On adore le voir baver un adversaire, rire de lui, le ridiculiser, le sortir de sa game. Ça fait partie de lui, ce type de simagrées là :

Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres!

Savez-vous quoi? Jusqu’ici, Max Domi n’a passé aucune minute sur le banc des accusés (la boîte des pénalités) en neuf rencontres. Difficile à gober, mais c’est tout de même une réalité. Non seulement ça, mais il trône au sommet des pointeurs du Canadien de Montréal (à égalité avec Brendan Gallagher) alors que Claude Julien n’a aucun ailier de taille à lui offrir actuellement.

Hey, on parle ici de Max Domi. Un gars qui a parfois beaucoup de difficultés à gérer ses émotions. Guillaume Lefrançois a d’ailleurs rappelé que la petite peste arborant le numéro 13 a entamé le calendrier préparatoire, dès le premier match « qui ne compte pas », avec une perte de contrôle. À ce moment-là, Brandon Baddock est rapidement devenu la cible de Domi.

Max Domi demeure un Domi, donc il devrait atteindre environ 80 minutes de pénalité d’ici la fin de la campagne régulière, héhé!

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