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Les Prédateurs de Nashville avaient aussi connu un mauvais début de saison…

C’est marrant, depuis l’échange qui a amené P.K. Subban à Nashville, et Shea Weber à Montréal, j’ai l’impression que plein d’éléments rapprochent les deux clubs. Beaucoup – dont moi – sont très sceptiques à l’idée d’imaginer que le Canadien se qualifiera pour les séries éliminatoires. En même temps, c’est un peu normal, à la suite d’un départ complètement horrible avec 1 victoire en 8 matchs.

Le début de saison 2016-2017 des Prédateurs et 2017-2018 du Canadien se ressemblent vraiment étrangement. Les Preds avaient une fiche de 2-5-1 après 8 joutes la saison passée, alors que le Tricolore a un record de 1-6-1. L’édition 2016-2017 de Nashville avait marqué 19 buts et en avait encaissé 28. Lors de la présente campagne, l’équipe de Claude Julien n’a compté que 13 filets et en a accordé 33.

Bizarre, non ? 

Honnêtement, l’attaque des Prédateurs n’a jamais été si dominante que cela puisqu’ils ont terminé avec 2,92 buts par matchs. La défense, elle, est l’une des meilleures – ou même la meilleure- dans la LNH. Afin de se qualifier pour le bal printanier, Nashville a maintenu un dossier de 39-24-11 lors des 74 derniers matchs restants.

La formation de Peter Laviolette avait exactement les mêmes soucis que l’édition 2017-2018 du Canadien de Montréal. Il n’avait pas de réponse face à l’inconstance de son équipe. Bref, les chances sont minces pour danser au prochain printemps, mais elles sont encore présentes.

Il va falloir commencer à gagner beaucoup de matchs, et ça commence par une victoire demain soir.

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