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Le risque de voir Pierre-Luc Dubois à Montréal en 2024 ne freine pas toutes les équipes

Si Kent Hughes n’arrive pas à mettre la main sur Pierre-Luc Dubois cette année, il existe toujours un monde où il pourrait simplement attendre en 2024 afin de mettre la main sur l’attaquant comme agent libre.

Est-ce que c’est un risque? Oui, évidemment. En deux ans, comme nous le rappelle Elliotte Friedman, il peut se passer bien des choses.

Mais dans deux ans, il sera libre comme l’air (si tout va bien) et il ne faudra pas payer des jeunes aux Jets pour le sortir de là. Dans deux ans, le Canadien aura aussi plus de lousse sous le plafond.

Évidemment, tout cela est motivé par le fait que clairement, Dubois aimerait jouer à Montréal un jour. Même s’il ne veut pas le confirmer, ce qui est normal, il est clairement intéressé par le CH.

Est-ce que cela va freiner les autres équipes dans leur quête d’aller le chercher en sachant que dans deux ans, il pourrait bel et bien profiter de son autonomie pour s’en aller à Montréal? Peut-être, oui.

Mais en même temps, Elliotte Friedman croit, comme il l’a dit à son podcast, qu’un club (mystère) pourrait y voir une manière d’aller chercher un bon joueur pendant deux saisons.

Selon lui, une formation jonglerait avec l’idée de mettre la main sur Dubois pour deux ans – de 2022 à 2024 – avant de le voir quitter. On parle d’un club dont la fenêtre d’opportunité ne sera pas éternelle, ce qui pourrait être logique avec l’échéancier de Dubois.

Pas fou.

Est-ce que cela va se faire? Qui sait puisque les Jets n’ont pas de pression en ce moment. Friedman a d’ailleurs rappelé que le DG Kevin Cheveldayoff est un gars patient. Revenez le voir quand vous aurez 20 ans.

Blague à part, tant qu’il n’aura pas son prix, il va conserver Dubois. Cela pourrait aussi attendre à la date limite sans que ce soit un problème.

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