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La partie « facile » du calendrier du Canadien est terminée

En janvier, le Canadien avait un calendrier plus « facile » sur papier. Après tout, le club n’avait que quatre matchs sur la route, dont la fin du gros voyage des fêtes à Nashville. Mais sinon, on parle d’une fin de semaine à New York et d’un aller-retour à Ottawa.

Sur 14 matchs, le CH était à domicile pendant 10 de ces matchs-là. De plus, quand on prend le classement en date d’aujourd’hui, huit des matchs de janvier étaient contre un club qui n’est pas en séries en date du 7 février.

C’est pour ça que je dis que le calendrier était plus « facile » ou plus « favorable » pour le Canadien.

Mais pourtant, la Flanelle n’a eu que 11 points en 14 matchs, ce qui fait que le club a joué pour moins de .400. Oui, il est capable de descendre au classement dans la course à Connor Bedard.

De plus, en février, les hommes de Martin St-Louis n’ont pas encore joué. Le prochain match aura lieu samedi dans le cadre d’un duel contre les Islanders de New York.

Et c’est là que ça va se gâter.

Comme le constat a été fait plus tôt cette semaine dans le podcast Sortie de zone, le calendrier sera exigeant pour le Canadien au cours des prochaines semaines d’activités.

Après tout, il reste beaucoup de matchs à jouer pour une saison qui va se finir dans un peu plus de deux mois… et le CH a le calendrier le plus exigeant, quand on analyse la qualité des adversaires, de toute la LNH.

En février, il y aura neuf matchs au menu et seulement quatre matchs auront lieu au Centre Bell.

En mars? Non seulement le Canadien affrontera de bons clubs, non seulement il aura 16 matchs au menu (dont neuf sur la route), mais en plus, ça va commencer avec des matchs dans l’Ouest.

(Crédit: Canadiens)

Et ce n’est pas comme si le mois d’avril (six matchs au menu en 13 jours quand tout le monde aura envie de sacrer son camp) allait être simple puisque de bons clubs seront au menu aussi.

Non, la fin de saison ne sera pas simple.

Prolongation

Comment rester focus? Ce sera clairement un défi de taille pour Martin St-Louis. Même si la date limite des transactions ne sera peut-être pas aussi dévastatrice que l’an passé, il y aura des morceaux qui vont tomber au combat.

Peut-être que l’arrivée de Sean Farrell sera une bouffée d’air frais, jusqu’à un certain point?

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