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Daniel Carcillo a ajouté de l’huile sur le feu après l’événement Peters

Le chapitre portant le titre de Bill Peters risque de continuer sa turbulence pour encore un bon moment puisque les histoires à son sujet se sont mises à pleuvoir. Des joueurs se sont mis à sortir en public, à la suite du congédiement de Mike Babcock, afin de pointer son ancien adjoint, Bill Peters : des propos racistes envers un ancien joueur, des coups de pieds aux fesses, des coups en arrière de la tête, rien de moins. Peters ne doit pas bien dormir en ce moment, comme bien d’autres de sa profession, lui qui est mis de côté par l’organisation depuis la sortie de cette histoire potentiellement dégueulasse.

Daniel Carcillo, à l’instar de Mike Commodore, est très actif sur les réseaux sociaux et il n’a pas la langue dans sa petite poche arrière. Il l’utilise très bien depuis sa retraite hâtive de la Ligue nationale de hockey. Récemment, quelques heures après les propos retenus contre Peters, Carcillo a affirmé, via Twitter, que plusieurs joueurs (et anciens joueurs) lui avaient envoyé des messages pour dévoiler le nom d’entraîneurs-chefs actuels de la LNH ou la Ligue américaine qui utilisent cette forme d’intimidation pour diriger un groupe.

What? Ça se peut ce type de préhistoire en 2019? Bien sûr que oui! Et pas seulement dans le monde du hockey, mais aussi dans le monde des médias, de la vente automobile ou encore dans les « mines ».

Attendez, ce n’est rien. Prenez 10 secondes afin de lire cette publication de Daniel Carcillo, qui semble indiquer que les Sutter étaient quelque chose… voici des photos troublantes de joueurs d’âge junior. Ça va continuer. La vague est partie!

Donc, un peu comme la vague #MeToo, attendez-vous à voir quelques plusieurs noms sortir de part et d’autre lors des prochains jours. Ça prenait un joueur pour lancer cette campagne, qui aurait dû être lancée bien avant cela, selon moi…

Puis, ne venez pas me dire qu’il y a dix ans, les coups de pied aux c*ls des joueurs étaient la façon d’entraîner un groupe. Que c’est comme ça que ça se passait dans c’temps-là. Que c’était moins grave. Ce type de traitements n’a pas sa place, malgré toute la testostérone qui circule dans ce monde-là.

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