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Christian Dvorak : cet été, sa clause de non-échange partielle embarque

Je vais commencer ce texte en y allant d’une affirmation : Christian Dvorak, comme joueur de hockey, je l’aime bien.

Peut-être que j’aimerais aussi sa personnalité puisqu’on parle de lui comme étant un gars rigolo qui aime bien niaiser avec ses chums. Mais, je ne le connais pas personnellement, ce qui est malheureux.

Bref. Passons aux choses sérieuses.

Bien qu’il soit polyvalent et qu’il soit fiable sur la patinoire, le nom du joueur de centre n’a pas vraiment été entendu dans les dernières rumeurs de transactions à Montréal. Avec la date limite qui approche, on a parlé en long et en large de plusieurs joueurs…

Mais pas de Christian Dvorak. Pourquoi? C’est une bonne question.

Dans les faits, « D-VO » a plusieurs outils intéressants pour les différentes formations de la LNH. Ce n’est pas le plus flashy, mais il est capable d’ajouter son grain de sel offensivement une fois de temps et temps…

Et on sait très bien qu’il est très bon défensivement. Ce n’est pas Patrice Bergeron, mais ce n’est pas Alex Galchenyuk non plus. #DésoléChucky

Ce qui est intéressant dans le cas du numéro 28, c’est que sa clause de non-échange partielle entrera en fonction cet été. Dvorak aura le luxe de dresser une liste de huit équipes auxquelles il ne souhaiterait pas être échangé…

Et on peut se demander si cela veut dire pour Kent Hughes en vue de la date limite.

Le contrat de Dvorak se termine à la fin de la saison 2024-2025 et lui rapportera 4.45 M$ par année. Ce n’est pas nécessairement cher pour un joueur de sa trempe, mais ce n’est pas nécessairement une aubaine non plus.

Ceci dit, si Hughes décidait de l’échanger ou de le sacrifier afin d’aller chercher une grosse pièce, il ne faut pas s’attendre à ce qu’il retienne une partie de son salaire.

Mais dans l’optique où Dach, Suzuki et Evans pourraient piloter les trois premiers trios du CH l’an prochain, est-ce que Hughes doit tout faire afin de magasiner Christian Dvorak avant que sa situation contractuelle ne change?

Et ça, c’est sans parler de la possibilité de voir Sean Monahan resigner à Montréal cet été. 

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