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Brandon Prust s’est « pogné » avec une centaine de personnes hier sur Twitter

Brandon Prust fait beaucoup moins la une depuis qu’il a quitté Montréal. Et il l’a fait encore moins depuis qu’il a accroché ses patins… et qu’il ne sort plus avec Maripier Morin.

Mais il attire encore parfois l’attention… pas toujours pour les bonnes raisons, vous me direz, mais bon.

L’ancien homme fort du CH a vivement critiqué Kyle Dubas (DG des Maple Leafs) l’an dernier. Il s’est aussi pogné avec Maripier, réglant ses comptes (notamment au niveau financier) via les réseaux sociaux.

À chaque fois, c’est via Twitter ou Instagram qu’il attire le spotlight sur lui.

Eh bien, Prust était en verve hier soir sur Twitter.

Ça avait commencé durant l’après-midi, alors qu’il s’en était pris à la religion catholique et à Joe Biden…

Et ça a atteint un tout autre niveau en soirée. Un ex-avocat devenu journaliste chez ICI Radio-Canada a tweeté, après avoir vu les messages précédents de Prust, que ce dernier ne se comportait pas de façon respectueuse et qu’on était bien sans lui à Montréal.

Prust s’est défendu d’avoir ri d’un bègue qui prend de l’âge et s’est attaqué à la profession de journaliste.

Vous croyiez avoir tout vu? Vous vous trompiez. Prust s’en est ensuite pris au processus électoral américain, dont la « fraude » aurait coûté la victoire à Donald Trump.

Il s’en est également pris à un coach de hockey mineur, à un chauffeur Uber, à un assistant directeur du recrutement et à un fan des Golden Knights. Ils sont près d’une centaine à s’être pognés avec Prust hier soir.

L’insulte préférée de Brandon Prust? Pigeon… une insulte sexiste et dégradante.

De nombreux Internautes ont tweeté qu’ils avaient honte de l’avoir supporté en tant que joueur du CH, qu’il était la preuve que les coups à la tête et les commotions cérébrales devaient être pris au sérieux dans la LNH et que les moutons (autre insulte utilisée par Prust) étaient plus intelligents que certains anciens joueurs de la LNH.

Sincèrement, je me demande pourquoi Brandon Prust, un Ontarien, dépense autant d’énergie à parler de politique américaine. Il devrait aussi éviter de passer trop de temps sur les réseaux sociaux lorsqu’il est trop émotif.

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