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Antoine Roussel pense que la ville de Québec pourrait profiter de la pandémie

Au cours des derniers jours, quelques propriétaires (sous le couvert de l’anonymat) ont affirmé avoir peur de faire faillite en raison de la pandémie. Pourquoi? Parce que les revenus ne sont plus aussi gros qu’avant et que certains clubs n’ont pas les reins solides.

On ne sait pas EXACTEMENT qui sont les équipes en question… mais on s’en doute.

Est-il logique de croire que certaines équipes pauvres sont en danger? Assurément. Déjà qu’on s’en faisait avant la pandémie…

Il est donc logique, dans cette veine-là, de croire que la LNH a des avenues de secours. Est-ce qu’on parle de certaines villes qui pourraient avoir droit à un club de la LNH?

Peut-être, oui.

Et c’est là, selon les propos du principal intéressé, que Québec pourrait entrer en jeu.

Comme il l’a dit au micro du 98.5 Sports et tel que rapporté par le site partisan Fanadiens, les chances de la ville de Québec d’être impliquée pour aider une équipe qui ne peut pas joindre les deux bouts sans les amateurs dans les gradins pourraient être meilleures.

Il a aussi cité le cas de Houston, un gros marché américain, mais a commencé en parlant de Québec.

Peut-être qu’il y a des marchés qui sont défavorisés et ça va profiter à d’autres marchés… Par exemple, Québec. Est-ce que Québec pourrait ramasser une équipe qui n’est pas capable de payer présentement? Est-ce Quebecor pourrait faire ce move-là? – Antoine Roussel

La question en lien avec Quebecor est importante puisque l’entreprise n’est pas forcément dans les bonnes grâces de la LNH.

Depuis quelques années, les chances de voir la LNH débarquer dans la capitale québécoise semblent décliner. Est-ce qu’un coup de barre de la sorte peut être la solution la plus logique? Peut-être.

D’un autre côté, Gary Bettman tentera de garder ses équipes en place. Et à court terme, on peut se demander si François Legault, qui n’autorise même pas aux joueurs du Canadien l’accès au Complexe Bell, voudrait voir plus de sportifs débarquer, et ce, sans une bulle. 

Rappelons qu’il est ironique d’avoir cette discussion au moment où l’Avalanche nous a présenté son chandail des Nordiques, non?

Il faut savoir, comme l’a affirmé Antoine Roussel, que les joueurs ne sont pas nerveux quant au futur de la LNH. Par contre, des solutions alternatives (comme Québec) sont discutées parmi les joueurs.

Ils sont sûrs que d’autres villes peuvent sauver le bateau, comme on dit.

À suivre? Ou ce sont de faux espoirs, selon vous?

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