Alex Kovalev avait une dépendance à la « Super Nintendo »

Alex Kovalev a toujours été un favori de la foule pour les partisans du Canadien de Montréal.

Après tout, c’est le dernier joueur du CH à avoir produit plus d’un point par match en une saison.

Son style de jeu électrisant faisait vibrer des foules, même en fin de carrière.

Il était tellement habile avec ses mains qu’il a été surnommé « L’Artiste ».

Par contre, il n’était pas juste habile avec un bâton de hockey avec ses mains.

Ne vous faites pas trop d’idées, il avait « simplement » une dépendance aux jeux vidéos, plus précisément, la « Super Nintendo ».

C’est ce qu’on apprend dans un texte de The Caviar Diplomat.

 

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En effet, selon ce que Kovalev a rapporté au site The Caviar Diplomat, quand il est arrivé dans la LNH, il était un maniaque du « Super Nintendo ». Kovy avait environ 35 ou 40 jeux différents étendus sur son plancher.

Et il ne jouait pas qu’une petite heure de temps en temps, mais bien plusieurs heures par jour, malgré son calendrier de joueur de la LNH bien chargé.

« Quand je me levais le matin, je déjeunais en jouant une partie. Des fois, j’arrivais en retard à la pratique juste pour finir un niveau. Après la pratique, je jouais encore pour 5-6 heures, je mangeais et rejouais plus tard. » – Alex Kovalev

Il faut le faire. Passer plus de six heures par jour à jouer à la « Super Nintendo », ça doit ramollir les méninges.

Patrik Laine des Blue Jackets de Columbus a déjà avoué avoir une dépendance aux jeux vidéos, plus précisément avec le jeu Fortnite.

Si l’on se fie au même texte de l’entretien avec Alex Kovalev, quand Laine a laissé tomber Fortnite, il avait de meilleures performances.

Gillian Kemmerer, du site The Caviar Diplomat, a réalisé l’entrevue avec l’ancienne vedette de la LNH et elle lui a posé une question à savoir si ses performances avaient déjà été affectées par cette dépendance.

« C’était vraiment mauvais pour moi. J’étais rendu à un point où ça affectait mon jeu. Je ne dormais pas, j’oubliais des choses que je devais faire sur la glace. C’était quasiment comme si tu étais brain dead et que tu ne pouvais pas te rappeler ce que tu fais normalement. » – Alex Kovalev

À l’entendre parler, ça a clairement dû affecter son jeu.

Si bien, qu’à l’occasion, sur le banc, il ne pensait même pas au match.

« Au début, je croyais que ce n’était que de la fatigue et que je devais dormir plus. Ensuite, j’ai réalisé que sur le banc je pensais des fois au jeu de hockey, plutôt qu’à la vraie partie. C’est là que j’ai réalisé que ça n’allait pas dans la bonne direction. » – Alex Kovalev

C’est à ce moment que Kovy a décidé de prendre les choses en main (et pas juste la manette de la Super Nintendo).

Le Russe est revenu à la maison et il a tout débranché et serré le tout bien comme il faut.

AK27 n’y a pas retouché jusqu’à la naissance de ses deux enfants, Igor et Nikita, qui sont aussi de très bons joueurs de hockey.

Imaginez s’il n’avait pas été dépendant du jeu, tout ce qu’il aurait pu faire de plus dans ses belles années.

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