À 6 pieds 2 pouces, David Reinbacher n’aurait pas terminé de grandir

David Reinbacher. L’Autrichien de 18 ans est un membre du Canadien depuis à peine une semaine et déjà, il est l’un des gars les plus polarisants de la ville de Montréal.

Kent Hughes en a fait son premier choix (5e au total) lors du repêchage et le jeune fait déjà beaucoup parler de lui et avec raison. Malgré le fait qu’il ne fait pas l’unanimité au sein des partisans, on sent que l’amour des fans envers lui est réel.

À 6 pieds 2 pouces, Reinbacher est un gros bonhomme. Il est un défenseur droitier, genre de défenseur qui manquait au Canadien. Il sera un atout important à la ligne bleue du futur montréalais.

Sera-t-il le premier partenaire de Lane Hutson à la défensive? C’est ce que croit Craig Button et hier, lors du camp de perfectionnement de l’équipe, les deux joyaux ont été mutés ensemble pour quelques exercices.

On s’entend que celui qui mesure 6 pieds 2 pouces est déjà grand, mais selon les dires de Renaud Lavoie (sur les ondes de BPM Sports), il n’aurait pas terminé de grandir. Après tout, il n’a que 18 ans et les gars peuvent grandir jusqu’à 21 ans dans certains cas.

L’an dernier, Reinbacher s’est cassé une main et lors des radiographies, les médecins ont découvert que ses plaques de croissance n’étaient pas fermées. Toujours selon Lavoie, même si, selon les données officielles du CH, le gars est listé à 6 pieds 2 pouces, Reinbacher semble plus mesurer aux alentours de 6 pieds 3 pouces.

Avec Kaiden Guhle (6 pieds 2 pouces), Logan Mailloux (6 pieds 3 pouces), la défensive du CH dans les années à venir va être très costaude. Et comme on l’a remarqué, les équipes gagnantes de Coupe Stanley ont des défensives qui pèsent lourd. C’était le cas avec le Lightning de Tampa, l’Avalanche du Colorado et plus récemment, les Golden Knights de Vegas.

Et même si le CH n’a pas gagné le championnat en 2021, sa défensive, qui les a propulsé jusqu’en finale, était notamment composée de Shea Weber, Ben Chiarot, Jeff Petry et Joel Edmundson, tous des gros bonhommes.

En 2023, de grosses défensives semblent être la norme à suivre, donc. Mon collègue, Tony Patoine, en a d’ailleurs glissé un mot hier.

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